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Depuis
1851, des expositions universelles sont organisées afin de présenter les moyens
dont dispose l’Homme pour subvenir aux besoins d’une civilisation. Elles sont régulées par le Bureau International des
Expositions depuis 1931. L’exposition de 2015 se tient à Milan, en Italie du 1er
Mai au 31 Octobre et aura pour thème « Nourrir la planète, énergie pour la
vie ». Elle soulève alors la question suivante : comment assurer à
toute l’humanité une alimentation suffisante, de qualité, saine et
durable ?
Comment se présente la
France à cette Exposition universelle de Milan ?
La France est évidemment concernée par
cette thématique sur l’alimentation de la population. Au milieu des 146 autres
pays participants répartis sur 80 pavillons, elle joue un rôle majeur par son
histoire, son patrimoine et sa réputation. Elle peut aussi mettre en avant l’introduction
de sa gastronomie au Patrimoine mondial de l’UNESCO en novembre 2010.
En effet en 2013 près de 30% de la
population mondiale souffre de malnutrition et plus de 850 millions d’humains
sont sous alimentés. C’est pourquoi l’objectif est d’augmenter la production
alimentaire d’environ 60%. Pour répondre à celui-ci, la France va pouvoir amener
des réponses concrètes pour faire face à toutes sortes de situations et
problématiques soulevées par le thème de l’exposition universelle de
2015 : par exemple, la sous-alimentation dans le monde ou les produits
d’organismes génétiquement modifiés (OGM). [1] La France a su développer
historiquement un modèle qui correspond aux attentes de cette exposition.
Cependant, elle ne doit pas s’arrêter en si bon chemin, puisqu’il ne faut pas
oublier que les objectifs évoluent, et la demande en quantité augmente
perpétuellement. Elle suit une démographie qui ne cesse d’augmenter. La France
doit alors exploiter tous ses potentiels, scientifiques et techniques, qui font
d’elle un acteur majeur dans les problématiques liées à l’alimentation.
La
France proposera au sein de cette exposition en réponse aux problèmes soulevés
un modèle alimentaire sain et durable qui repose sur 4 piliers centraux :
·
D’une part il faut
promouvoir un modèle alimentaire durable, c’est-à-dire produire une quantité
suffisante pour nourrir la population mondiale. En effet, la France est capable,
et se doit de produire non seulement pour sa population, mais aussi contribuer
à la sécurité alimentaire au niveau mondial. Cela passe par des mesures
techniques, économiques, politiques et organisationnelles, mais aussi à un
renforcement de la collaboration internationale. Ce dernier point est essentiel
car la France devrait permettre aux autres pays de tendre à une autosuffisance.
Mais une coopération reste toujours nécessaire.
·
« Produire plus,
produire mieux » : à travers ces mots, l’on comprend que la France se
doit de poursuivre ses efforts pour produire une quantité suffisante pour
nourrir la plus large population possible, mais aussi le faire sans omettre et
pénaliser les autres enjeux majeurs du XXIème siècle, axés autour de la notion
de développement durable ; développer les aspects à la fois économiques,
sociaux et environnementaux.
·
La France doit aussi
permettre aux autres pays en voie de développement de pouvoir eux aussi
subvenir à leur besoin de manière autonome ; non seulement en exportant
leurs produits mais aussi en leurs proposant de nouvelles techniques, des
innovations. Le but étant de promouvoir le modèle agricole français qui produit
des richesses, de l’emploi et de la diversité en assurant aux populations une
alimentation saine, en quantité suffisante et de bonne qualité.
·
Enfin, avec le renom
et la popularité dans le monde de la gastronomie française, la France doit
continuer de produire une nourriture alliant plaisir gustatif et santé. La
France apporte une attention toute particulière à la sécurité des aliments et
de l’eau, à l’équilibre nutritionnelle et encore une fois, la notion de
« plaisir », qui passe par des produits sains et de qualité, mais
aussi par des repas conviviaux ou des savoir-faire culinaires spécifiques.
On peut alors dire que les réponses de
la France doivent s’articuler autour de plusieurs axes : les progrès
technologiques, l’autosuffisance, l’exportation et la collaboration
internationale. La transmission des savoirs et des technologies sont des éléments
essentiels pour permettre au monde entier de rejoindre le modèle de production
français qui est satisfaisant puisqu’il se développe depuis plusieurs années
autour de ses quatre piliers. [2]
Les
Etats-Unis sont à l’origine d’un quart de la nourriture mondiale, faisant d’eux
l’acteur principal de l’alimentation dans le monde. A travers leur pavillon,
les Etats-Unis ont pour objectif la mise en avant de leur leadership et de
leurs innovations en matière de sécurité alimentaire. Ils souhaitent aussi
promouvoir leur agriculture et renforcer le commerce et l’investissement avec
les pays d’Europe et le reste du monde afin de répondre aux questions liées aux
défis alimentaires.
Le pavillon et le thème choisi par les
Etats-Unis « American Food 2.0 » met en avant la culture américaine
ainsi que l’histoire de son agriculture et son succès grâce aux innovations par
le biais de différentes installations tel que des « food truck »
présents dans toute l’Exposition. Chaque année, presque la moitié de
l’alimentation aux États-Unis est jetée, ce qui correspond à 32,5 millions
d’euros. [3]
La Chine est une grande puissance agricole et
domine le marché mondial dans de nombreux domaines. L’agriculture représente 10% de son PIB. Elle parvient à nourrir 21% de la
population mondiale avec 9% de ses terres. Le pavillon Chinois est le deuxième
plus grand de l’Expo Milan 2015. La Chine met en avant la nécessité d’une
coexistence entre homme et nature. Elle a pour thème « Terre d'espoir,
Alimentation pour la vie ». Le pavillon est divisé par thème : le ciel, la
terre, l’homme et l’harmonie. Ces divisions présentent la culture et les
traditions chinoises. Le Chine souhaite grâce à l’Exposition renforcer les
liens économiques et culturels ainsi que la coopération avec le monde entier
pour répondre aux défis alimentaires. Pendant l’exposition la Chine présentera
de nombreuses innovations telles que le riz hybride qui a été crucial pour
répondre à la demande alimentaire chinoise. [4]
L’Allemagne est le deuxième importateur
mondial dans le secteur agroalimentaire. L’Allemagne a pour thème « le
champs d’idées ». Elle possède le plus grand pavillon de l’exposition.
Avec ce pavillon, l’Allemagne se positionne sur l’innovation en matière d’alimentation
et a pour objectif de résoudre le problèmeme de l’alimentation
dans le monde. Tout au long du parcours scindé en différents thèmes comme
l’eau, la terre, la biodiversité et le climat, les visiteurs trouvent
« des solutions et des idées » pour un rapprochement homme et nature.
L’Allemagne souhaite montrer à travers son pavillon qu’un pays joyeux et
convivial peut aussi être à la pointe de la technologie et capable dans de
répondre grâce à son « champs d’idées » aux défis alimentaires. Le
pavillon est composé de deux restaurants dont un typiquement allemand et une
zone de dégustation. Le pavillon allemand reste centré sur sa culture et ses
spécificités. [5]
Nourrir la planète : Le point de vue Français
Référence 2 |
La population mondiale ne cesse de s’accroître et, par
conséquent, les besoins alimentaires aussi. En 2050, la population mondiale
pourrait dépasser les 9.5 milliards d’individus. Pour répondre à ces nouveaux
besoins, une augmentation de 3% par an jusqu'à 2030 de la production serait
nécessaire. [1] Mais actuellement nous dépassons à peine les 2%... Cette
augmentation de la population s’accompagne également d’un développement de
l’urbanisation. Cela concerne surtout les pays en voie de développement, ce qui
provoque une extension des zones urbaines et donc une diminution des surfaces
agricoles disponibles. De grands organismes de recherche tels que l’INRA
(Institut national de la recherche agronomique) et le CIRAD (Centre de
coopération International en Recherche Agronomique pour le Développement)
proposent d’agir sur les méthodes de production agricole et de consommation, ce
qui permettrait, tout en sauvegardant notre écosystème, de satisfaire tous les
besoins alimentaires de façon qualitative et quantitative. Pour cela, la France
s’avère être un atout majeur pour l’amélioration des performances agricoles
grâce à ses nombreuses connaissances en ce domaine, ainsi qu’en biologie, sa
grande maîtrise de la productivité et ses nombreux organismes de recherche. Il
faudra également agir sur la consommation alimentaire. La France se montre déjà impliquée dans la
résolution de ces problèmes: il existe déjà des réglementations et des accords
avec les producteurs, en plus de la création d'un pacte contre le gaspillage
alimentaire, en vue de le faire baisser de 50% d'ici 2025. La France peut donc
permettre d’apporter un élément essentiel de réponses à la demande croissante
de produits agricoles et à la diversification des modes d’alimentations. [5]
La consommation ne cesse de
s’accroitre et par conséquent la demande de produits agricoles aussi. Or, les
capacités de production des terres sont limitées. Il est donc nécessaire de
produire autrement. En effet, en moins de 20 ans, plus de 127 millions
d’hectares de forêts ont été détruites, surtout dans les pays tropicaux, pour
satisfaire les besoins de ses pays en terres agricoles, mais également pour
répondre aux besoins du commerce international. L’Union Européenne a décidé
d’agir : elle souhaite réduire de moitié la déforestation liée au commerce
européen d’ici 2020. L’exposition Universelle propose une réflexion sur « produire
autrement » en incitant les pays participants à montrer leur capacité
d’innovation en matière de production agricole. Produire autrement pour réussir
à préserver les ressources naturelles tout en produisant la même quantité,
voire même l’accroitre. Il s’agit d’une agriculture écologique intensive. Cela
consiste à développer une agriculture productive plus en respect avec
l’environnement. Ce qui rendrait l’agriculture plus compétitive sur un plan
économique mais également plus durable sur le plan environnemental. La production
et la compétitivité se combineraient dès lors avec le respect de
l’environnement. Cette nouvelle
production se baserait essentiellement sur le progrès et la science. La France
peut apporter beaucoup lors de cette exposition car de nombreux travaux sont
menés, réalisés par les organismes de recherches ou les établissements
d’enseignement supérieur sur des approches innovantes comme l’agro écologie.
[5]
Pour résoudre le problème posé par
l’exposition, la France montre aussi l’intérêt de produire mieux à l’échelle
nationale, et qu’il reste nécessaire de coopérer et d’échanger à
l’international. Pour commencer, l’un des objectifs serait de tendre à une
autosuffisance alimentaire de chaque pays. On ferait ainsi travailler les
producteurs locaux, et on privilégierait une alimentation de saisons. Cela
rejoint donc l’idée de produire mieux. De plus, l’autosuffisance alimentaire
baisserait les coûts dus au transport, et la pollution qu’il engendre. Pour
cela, de nombreux progrès ont été faits, notamment au niveau de la
mécanisation. Mais cette évolution n’est pas utilisée par tous les pays, car
c’est un investissement important et on estime aujourd’hui le nombre de paysans
qui travaillent avec des outils à mains à environ un milliard. Cependant, même
avec ces progrès, l’échange à l’international reste incontournable. Selon les
pays, les conditions climatiques, les terres, les moyens ne sont pas les mêmes
et on ne peut pas y produire le même type d’aliment. Sans oublier qu’il faut
produire de façon durable. C’est pourquoi il faut réussir à trouver un
équilibre entre produire bien, suffisamment, tout en garantissant aux
producteurs des revenus convenables. Ceci dans le but qu’il puisse continuer à
évoluer et à investir. Un autre point qu’il faut résoudre est celui des pertes :
aujourd’hui, 30% des aliments produits sur notre planète sont perdus alors que
plus de 860 millions de personnes sont victimes de sous-alimentation dans le
monde. La coopération est indispensable
et doit être contrôlée pour garantir des produits sains et de bonne qualité,
ainsi qu’une production dans de bonnes conditions. [7]
Les pays développés consomment
aujourd’hui plus d’aliments que nécessaire, alors que les pays les moins
développés, entre autres les pays d’Afrique, sont en sous-alimentation. Le but
est de trouver un équilibre pour pouvoir répartir les denrées de façon à
nourrir une population qui ne cesse de croître. Pour cela, il est important de
changer notre manière de nous alimenter. Il faut passer par une éducation et
une sensibilisation des hommes, qui sont les principaux acteurs de cet espoir
de changement. En effet, c’est la demande des consommateurs qui influence les
productions. On utilise alors le nom de « Consom’acteur ». Si l’on
mangeait des produits de saison et locaux, on diminuerait l’importation. De
plus, si chaque habitant n’achetait que les aliments essentiels à leurs
alimentation sans faire de surconsommation, on aurait moins de gaspillage,
moins de surpoids et si cette nourriture est bien distribuée, moins de
personnes qui ne mangeraient pas à leurs faim. Ensuite, dans cette envie de
nourrir autrement, l’idée de sécurité alimentaire est toujours mise en avant.
Les échanges internationaux sont de plus en plus nombreux et inévitables, comme
on l’a vu précédemment et par conséquent, il existe un risque plus élevé de
transmettre des maladies et des contaminations.
La France est en position de force sur ce sujet, sachant qu’elle est le
pays dans lequel on recense le moins de Toxi-infections d’origine alimentaire
dans le monde. Pour terminer, il ne faut pas perdre de vue que l’alimentation
est un savoir culinaire qui se transmet de génération en génération et que les
traditions sont nombreuses. Il ne faut pas perdre de vue que le plaisir de
manger est un élément qu’il est important de conserver. [8]
Le Pavillon Français :
La
présence de la France est soutenue par l’engagement de sept ministères du
gouvernement français qui se sont mis d’accord pour investir dans cette
Exposition 20 millions d’euros. [8]
Le
pavillon est doté d’une architecture particulière : En effet, le bâtiment
a une superficie de plus de 2000m², dont 1100m² de scénographies. Construit de
bois nu local, originaire du Jura, il est démontable et symbolise une économie
durable. De plus, il représente des formes libres et complexes qui rappellent
le savoir-faire français. Ce pavillon fait passer l’air et la lumière et est
semblable à un marché ouvert sur la ville. Il est constitué de trois paysages,
dédiés aux cultures céréalières, à l’élevage, à la polyculture et au marché. Le
paysage inversé de la grotte symbolise là encore, l’agriculture et la beauté
des produits et de l’artisanat. Le concept scénographique, quant à lui, évoque
la culture maraîchère entre la campagne et la ville toujours sur le thème de ‘’
nourrir la planète ‘’. Enfin, le chemin emmène le public à la découverte des
quatre thèmes : des nouvelles technologies scientifiques, techniques
productives, écologiques, gastronomiques et, s’imprégnant des couleurs, des senteurs,
des végétaux présents. Le thème général est repris sous une question, ‘’
comment produire et nourrir autrement ? ‘’. Il est question de discuter
d’un remaniement de l’agriculture afin de nourrir la planète entière, en 2050.
Dans ce pavillon, vous pourriez parler des conséquences économiques, sociales
et environnementales et de futures politiques permettant l’exploitation des
terres, et mers, par l’Homme, en adéquation avec les ressources disponibles. Le pavillon français propose
différentes animations tout au long de l’exposition universelle, celle-ci ferme
ses portes le 31 octobre 2015. [9]
L’intérieur du Pavillon est construit
de telle manière qu’il ressemble finalement à des « halles de marchés »
typiquement français. Cette présentation rappelle les symboles de la France en
adéquation avec le thème général de l’exposition.
La scénographie joue un rôle important dans le pavillon français. En effet, elle permet la
mise en avant des quatre piliers évoqués précédemment.
Elle commence dès le début du parcours par une
succession de différentes cultures illustrant la
diversité
agricole française. A l’entrée du pavillon, des écrans présentent les différents types de paysages français. Sous l’architecture du pavillon français, des écrans diffusent des courts
films d’animation, facile d’accès, abordant les enjeux ainsi
que les actions françaises
envers l’alimentation dans le monde.
Des conférences sur l’alimentation approfondissent
ces films d’animation. Des forums, des
colloques et des débats sont aussi organisés afin que les visiteurs
puissent communiquer et échanger
autour de la thématique. Des démonstrations culinaires et des
manifestations ont lieu, mettant en avant la culture française. La présentation du
Pavillon a pour objectif d’être simple et accessible pour montrer que chacun
est concerné et acteur de l’exposition. Les présentations à travers les
animations décrites auparavant s’articuleront d’une part autour des différents
produits (comme le pain, la viande, les laitages…) mais aussi autour des
savoir-faire culinaires et des atouts de la France en général, et de nombreux
thèmes sont ainsi abordés : la maîtrise de l’eau, la gestion des
écosystèmes, le gaspillage alimentaire... L’aspect vivant du Pavillon est
essentiel pour intéresser les visiteurs, c’est pourquoi il leur est possible de
déguster sur place à des produits du patrimoine gastronomique français. [7-9]
L’architecture est recouverte d’une couche de houblon,
celui-ci sera transformé en
bière à la fin de l’exposition. Enfin à la sortie du pavillon, des
messages de citoyenneté défilent sur des écrans, pour rappeler aux
visiteurs que chacun peut être
acteur du défi alimentaire. Chaque
visiteur peut donc profiter de sa découverte du monde en visitant les
pavillons, mais est aussi invité à participer à la réflexion autour du
développement durable qu’impliquent les questions soulevées par le thème de l’exposition,
car chacun des participants peut répondre à ces questions à sa manière, et
chacune des contributions pourront permettre une avancée au niveau mondial pour
arriver à l’objectif final : nourrir la planète de manière durable.
L’Exposition Universelle est donc le
rassemblement des idées, cultures, et innovations des différents pays sur un
thème donné. Elle permet d’échanger pour
résoudre des problèmes qui touchent toutes les populations du monde. Dans cet
article nous vous présentons principalement le Pavillon Français, mais il faut
savoir que chaque pays participant présente une nouvelle architecture, de
nouvelles solutions. En se rendant sur place on peut donc avoir l’impression de
faire un réel tour du monde.
Bibliographie :
[1] Le pavillon France, Exposition universelle
Milan 2015, http://france-milan-2015.fr/fr/exposition_universelle (consulté en mars 2015)
[2] Les réponses Françaises,
le Pavillon France, http://france-milan-2015.fr/fr/reponses_francaises
(consulté en avril 2015)
[3] Novoceram, Expo 2015 : le pavillon
américain. http://www.novoceram.fr/blog/news/expo2015-pavillon-des-etats-unis (consulté en mai
2015)
[4] Bureau International des Expositions, Le
pavillon de la Chine à Expo Milan 2015. http://www.bie-paris.org/site/fr/les-expos/expos-a-venir/expo-milano-2015/actus/109-news-announcements/expo-milan-2015-fr/912-pavillo-chine-expo-milan-2015-expo-2015-agriculture-nourriture-faim-bie-expo-universelle-exposition-universelle (consulté en mai
2015)
[5] Novoceram, Expo 2015 : le pavillon de
l’Allemagne. http://www.novoceram.fr/blog/news/pavillon-allemagne-expo-2015 (consulté en mai
2015)
[6] La France agricole,
Un pavillon en bois du jura pour le stand France. http://lafranceagricole.fr/actualite-agricole/exposition-universelle-milan-un-pavillon-en-bois-du-jura-pour-le-stand-france-94289.html (consulté en avril 2015)
[7] Dossier
de presse, Signature du contrat de participation de la France Exposition
universelle de Milan 2015 (1er
mai - 31 octobre 2015) « Nourrir la planète, énergie pour la vie
»,13 septembre 2013 – Rome, http://www.france-milan-2015.fr/actions.php?get_press_file=6,fr,1 (consulté en mars 2015)
[8] Espace Presse, DOSSIER DE PRESSE EVÉNEMENT DE L'ELYSÉE - 18 MARS 2015, http://france-milan-2015.fr/fr/presse (consulté en avril 2015)
Images :
Référence 1 : Logo officiel de
l’Exposition Universelle de 2015, http://france-milan-2015.fr/fr
Référence 2 : Le point de vu
Français sur le thème de l’Exposition universelle 2015
Référence 3 : Les animations du
Pavillon Français