Pemba BIZET, Franck COGNACQ, Morgane DJEBAR,
Camille LAI, Camille LEJAMBRE, Léna LEVOY
Figure 1 : Dessin
représentant une voiture qui émet des microparticules
Camille Lejambre Ó
Les nombreux pics de pollution nous invitent à
nous interroger sur leurs effets vis-à-vis de notre santé. En effet, il n’est
pas rare de se protéger le visage ou de tousser lorsqu’une voiture démarre et
rejette de la fumée noire. Mais avant de commencer à se questionner sur ces
effets, il est nécessaire de clarifier quelques termes. Les microparticules,
contrairement aux nanoparticules, sont des particules fines et toxiques. On
s’intéressera ici aux différentes Particules
Totales en Suspension (TSP), à savoir les « Particulate Matter » PM10/2.5/1.0
dont le diamètre aérodynamique est respectivement inférieur à 10/2.5/1.0
micromètres, le carbone suie (BC), l’ozone, le monoxyde de
carbone, l’oxyde de souffre, l’azote, ainsi que d’autres composés organiques
volatils. [1]
Quels sont les dangers des microparticules
sur la santé et comment y remédier ? C’est à cette question que nous
tenterons de répondre tout au long de cet article.
Le taux de microparticules augmenté par les activités humaines
Aujourd’hui, on estime que le taux moyen
annuel de microparticules est de 80 à 100 µg/m3. Or le seuil d’alerte que l’Organisation
Mondiale de la Santé (OMS) recommande pour les PM10 est un taux de 20 µg/m3. Cet objectif de qualité est donc
loin d’être atteint. De plus, les particules fines ont diverses origines,
notamment naturelles, telles que les éruptions volcaniques et les incendies. Cependant,
ces origines représentent une part moins importante que les activités humaines.
En effet, ces dernières sont en nette augmentation depuis deux siècles.
Le
diesel : une des principales sources d’émissions de microparticules
La première cause pointée du doigt semble
être la voiture car le trafic routier émet de nombreuses particules polluantes
notamment à cause du diesel, de l’usure des pneus ainsi que de l’abrasion des
routes. Des chiffres l’attestent puisque les voitures fonctionnant au diesel
rejettent 87% des particules issues du trafic routier contre à peine 10% pour les
voitures fonctionnant avec des moteurs à essence non catalysés. La France a
encouragé l’utilisation du diesel en le rendant moins cher que l’essence.
Cependant, l’utilisation de ce carburant n’est pas sans conséquence car il est
responsable de la mort de 40 000 français chaque année. En effet, le diesel est
générateur de PM10. Cependant,
un paradoxe s’installe car les progrès scientifiques ainsi que les
réglementations européennes ont permis de réduire considérablement l’émission
de ces polluants pour les véhicules utilisant ce type de carburant. Effectivement,
grâce à la sortie des filtres à particules, les émissions des moteurs diesel
sont maintenant comparables à celles des véhicules essence. Mais pour le
moment, peu de véhicules disposent de ce filtre, et ce progrès technique est
concurrencé par l’augmentation du parc automobile. [2]
Le
chauffage plus polluant que le diesel
Les tenants de la voiture ne sont pas les seuls responsables.
Ils n’en sont même pas, selon les chiffres d’Eurostat, la source
principale : le chauffage par l’essence, la combustion du bois, et d’autres
par l’industrie tels que l’agriculture peuvent être incriminés. En effet, le
chauffage domestique est responsable de 26% de PM10 en Ile-de-France et 39% des
PM2,5. Par ailleurs, la combustion du bois qui représente une pratique
naturelle est en fait très dangereuse d’autant plus que l’appareil de chauffage
au bois (chaudière, poêle) est ancien. Sa consommation en France est estimée à
51 millions de stères (unité de mesure pour les volumes de
stockage de bois de chauffage) pour 6,750 millions d’appareils de chauffage et
1,4 million de cheminées ouvertes. On peut citer un autre exemple frappant avec
l’utilisation des poêles à charbon en Cracovie en Pologne. Environ 30 000 chaudières utilisent ce
combustible, ce qui libère une grande quantité de fumée chargée de substances
cancérigènes. On peut y retrouver des dioxines et du benzopyrène ainsi que de
fines particules de suie. En effet, les habitants utilisent le charbon, le bois
mais également le plastique pour se chauffer. Dans cette ville, on estime que
les quantités de benzopyrène sont parfois huit fois supérieures au seuil
recommandé. Cela reviendrait à imaginer que chaque habitant fume 2 500
cigarettes par an. [3]
D’autres secteurs responsables d‘émissions de
microparticules
En ce qui
concerne l’origine mécanique de l’émission de microparticules, on peut
distinguer plusieurs grands secteurs. Tout d’abord l’industrie, dont la
responsabilité des émanations a augmenté de 24% à 31% entre 1990 et 2012. En
effet, la transformation d’énergie ainsi que le traitement des déchets produisent
des microparticules, qui se retrouvent alors dans l’air.
Ensuite, l’implication de l’agriculture dans ces
émissions est passée de 11% à 20% pendant cette même période. En effet,
l’utilisation des machines agricoles telles que les tracteurs et laboureuses rejoint
les émissions de combustion de pétrole, ainsi que l’utilisation massive d’engrais
pour favoriser les cultures. De plus, la combustion de la biomasse contribue
également à l’émission de microparticules.
Un autre secteur est à inclure, il s’agit de
l’activité économique. Ce dernier même s’il n’est pas le premier auquel on
pense lorsque l‘on évoque les origines des microparticules, prend une part de
18% des émissions totales : lors des chantiers de construction des Bâtiments
et Travaux Publiques (BTP), de nombreuses poussières nocives sont émises,
notamment lors du perçage des murs en béton ou du démantèlement de certaines constructions.
Mais il y a également des émissions lors de l’exploitation des carrières pour
l’extraction de matières. [4]
Par exemple, à Dehli (en Inde) l’activité des
briqueteries et les déchets des chantiers du bâtiment s’ajoutent aux poussières
des routes. Celles-ci sont d’ailleurs un important facteur dans le cancer du
poumon.
A Pékin (en Chine), 31,1% des particules seraient
dues aux gaz d’échappement automobiles, 22,4% à la combustion de charbon, 18,1%
aux rejets industriels et 14,3% aux émissions de poussières. Ces dernières
proviennent notamment des travaux
(canalisations, démolitions de bâtiments, transports, stockage de
matériaux) mais également des constructions dues à l’expansion de l’immobilier.
En effet, 200 millions de mètres carrés (m2) sont mis en chantier
chaque année et 4 000 projets sont en cours dans cette ville (en avril 2015).
De plus, certains scientifiques californiens ont constaté que les habitants de
cette région étaient plus atteints par l’asthme ou la bronchopneumopathie
chronique obstructive (BPCO) que les habitants des autres régions des
Etats-Unis. La cause serait le smog « passif » engendré par les nombreuses
centrales à charbon chinoises de l’autre côté de l’Océan Pacifique. [3]
Une étude montrant l’ampleur de la pollution aux
microparticules
Une étude de 2014 réalisée par l’OMS et portant sur la qualité de l’air ambiant (extérieur) a révélé que seulement 12% de ces 1 600 villes ont un niveau de PM10 inférieur à la recommandation fixée par l’organisation. Malgré le fait que 500 villes de plus se soient investies dans l’étude par rapport à celle de 2011, l’OMS a constaté que les données sur la pollution augmentent et que cette dernière devient un problème de santé majeur à long terme. L’organisation évoque également le fait qu’additionner la pollution intérieure à celle de l’extérieur place ce problème de santé parmi les risques majeurs dans le monde. C’est pourquoi de nombreuses villes mettent en place des moyens de prévention et d’amélioration de la qualité de l’air afin de prévenir certaines maladies. [5]
Figure 2 : Pollution
de l’air, en moyenne annuelle, par les PM10 (en µg/m3
d’air) parmi 1 600 villes examinées
« Rapport
2014 sur la qualité de l’air ambiant » par l’OMS
Les microparticules responsables de nombreuses maladies et de décès
Chaque
jour, nous aspirons entre 10 000 et 20 000 litres d’air composé de 99% d’air
utile et de 1% de polluants dont les microparticules. Ces dernières, après
avoir été aspirées, peuvent être à l’origine de nombreux effets néfastes sur la
santé humaine plus ou moins graves, surtout entre 2 et 5 jours après un pic de
pollution.
Les particules fines s’attaquent aux
poumons
En
effet, elles favorisent l’apparition de tumeurs pulmonaires : on dit
qu’elles ont un effet cancérogène. Cet effet est d’ailleurs la première cause
du développement de cancers des poumons chez les non-fumeurs français. On
estime que la pollution atmosphérique (composée des microparticules) augmente
de 20% le risque pour les non-fumeurs de mourir de ce type de cancer.
Cependant, bien que ce risque soit le
même pour une femme et pour un homme, il augmente pour les personnes dites
faibles à savoir les personnes âgées, les nouveau-nés, mais aussi les personnes
atteintes de maladies respiratoires telles que l’asthme ou encore, les
personnes étant sujettes aux allergies. Pour ces dernières, les microparticules
peuvent se comporter comme des cofacteurs dans la réaction inflammatoire et ainsi
amplifier ou déclencher la réaction allergique au niveau des bronches et
d’autres muqueuses, toutefois, il n’est pas prouvé que les particules fines
soient responsables de l’augmentation du nombre de personnes allergiques.
Les microparticules diminuent
l’espérance de vie et augmentent le nombre d’hospitalisations
Les
microparticules aggravent également les symptômes des personnes atteintes de
pathologies cardiaques ou pulmonaires et sont responsables de nombreux autres
effets néfastes pour la santé. En effet, elles peuvent altérer les fonctions
respiratoires car elles ont une influence sur la diminution du volume et de la
force de souffle, mais elles peuvent aussi provoquer des excès de toux, des
bronchiolites, des rhinopharyngites, des crises d’asthme, des embolies
pulmonaires ou encore des hypersécrétions bronchiques. Elles vont être à
l’origine entre autres, de crises cardiaques, d’angines de poitrine, d’une
dégradation des défenses de l’organisme contre les corps indésirables
(micro-organismes, virus…).
On
observe également que les particules les plus fines arrivent à traverser la paroi
épithéliale des alvéoles pulmonaires et donc, à se retrouver dans le sang.
C’est une fois dans ce dernier, qu’elles peuvent avoir un impact sur le système
cardio-vasculaire notamment car elles augmentent le risque d’infarctus en
favorisant la formation de caillots sanguins. En effet, les PM10 notamment, ont
la particularité d’épaissir le sang, ce dernier étant donc plus visqueux (moins
fluide) va former des caillots. L’étude Aphekom, publiée en mars 2011, a montré
que les niveaux trop élevés de microparticules dans neuf villes françaises
étaient responsables de plus de 1 000 hospitalisations pour des causes
cardio-vasculaires. Cette même étude a aussi montré que, dans ces neuf mêmes
villes, les particules fines sont la cause d’environ 2 900 décès anticipés par
an dont 1 500 pour des raisons cardio-vasculaires. On estime aujourd’hui,
qu’une augmentation de la concentration des PM10 de 10 µg/m3
augmenterait la mortalité totale de 0,51% et la mortalité cardio-vasculaire de
0,55% dans les jours suivants l’exposition aux microparticules.
Autre
problème soulevé, celui de l’augmentation du risque d’autisme chez les
nouveau-nés. En effet, les scientifiques ont démontré que pour chacune des
augmentations de 4,4 µg/m3 (PM2,5 plus particulièrement) respirées
par une femme durant sa grossesse, il y a une augmentation de 57% du risque que
l’enfant soit autiste car, les particules fines sont composées de molécules de
carbone organique et d’hydrocarbures aromatiques polycycliques qui interagissent
avec les gènes du cerveau et donc, empêchent sa croissance. Cela perturberait
le développement correct du système nerveux et du système immunitaire de
l’enfant et donc augmenterait les risques de souffrir de cette pathologie, mais
les chercheurs ne sont pas encore d’accord sur les effets des microparticules
sur le cerveau. [6]
Toutes
ces causes expliquent donc, la diminution de l’espérance de vie et la hausse du
nombre de consultations et d’hospitalisations après un pic de particules
fines : on remarque par exemple, qu’il y a 1% d’hospitalisations en plus
pour l’asthme après un pic de pollution atmosphérique.
Les microparticules ne sont pas
dangereuses pour tout le monde
Bien que nous comptions 350 000 décès anticipés en Europe dus aux microparticules, il y a des effets moins graves que ceux que nous avons exposés plus haut. En effet, pour les personnes en bonne santé, ces particules ne présentent pas de risques majeurs mais peuvent être à l’origine de divers symptômes, notamment une irritation des yeux ou du nez, des toux et des maux de tête.
Figure
3 : Couche de pollution au-dessus de la ville de Paris responsable
d’effets néfastes sur la santé de nombreuses personnes
Pemba Bizet Ó
Des solutions pour remédier aux effets des microparticules ?
Il existe peu de solutions
possibles afin de mettre un terme à l’émission des microparticules dans l’air
et ainsi stopper les effets engendrés par leur intrusion dans l’organisme à
long terme. Néanmoins, il est possible de contrôler voire de réduire la
diffusion de ces particules, ces préventions pouvant notamment être réalisées
par des actions individuelles (circulation alternée par exemple) ou bien par le
gouvernement (lois).
Des
préventions prises à l'échelle nationale
Le relèvement de la qualité de
l'air en fonction des microparticules présentes dans l'atmosphère a été rendu
obligatoire après l'application de la loi LAURE (Loi sur l'Air et l'Utilisation
Rationnelle de l'Energie) en 1996. Cette loi vise à obliger le contrôle
régulier de la qualité de l'air. En effet, des capteurs placés dans chaque
région mesurent la concentration de 12 polluants potentiellement dangereux pour
la santé comme le benzène ou les oxydes d'azote. Selon le bilan du deuxième
Plan National Santé Environnement (PNSE2) publié en 2013, la qualité de l'air
extérieur ne s'est pas améliorée et a même stagné entre 2009 et 2013, c'est
pourquoi il est crucial d'envisager d'autres alternatives afin de réduire les
risques de cancers et de maladies respiratoires liés aux polluants.
Par ailleurs, outre les véhicules,
les industries émettent autant de microparticules dégradant la qualité de
l'air. C'est pourquoi depuis 1999, la Taxe Générale sur les Activités
Polluantes (TGAP) a été mise en place. Elle applique le principe du
« pollueur-payeur » : plus l'activité pollue, plus le montant de
la taxe de l'exploitant augmente. [7]
Réduire la circulation routière pour limiter le
nombre de microparticules
Les scientifiques ont observé que lorsque la plupart
des gens ne travaillent pas et utilisent très peu leur voiture, c’est-à-dire le
dimanche, la pollution diminuait. Du coup, lorsque l’on prévoit que le pic de
microparticules peut être élevé et dangereux, des mesures d’urgence sont mises
en place. Elles permettent de diminuer et/ou d’éviter le pic de pollution
notamment avec la circulation alternée qui consiste à réduire le nombre de
voitures sur les routes durant une période donnée (correspondant aux jours
propices aux pics de microparticules). En France, pour aider les habitants à ne
pas utiliser leurs voitures durant cette période, les transports en commun sont
gratuits et des gendarmes et policiers sont réquisitionnés pour veiller au
respect de la mesure.
Cependant, la mise en application
de ces lois ne suffit pas à réduire la diffusion des microparticules. La
mobilisation collective, mais surtout certains gestes simples et anodins font
du particulier une personne active pour sa santé et la planète.
La source principale d'émission de microparticules provient principalement
des véhicules de chacun. De ce fait, l'amélioration de la qualité de l'air doit
se faire en priorité sur l’utilisation des voitures. Chaque jour, le nombre
d'automobilistes augmente tandis que les ressources d'énergies fossiles
diminuent constamment, c'est pourquoi il est primordial de bouleverser notre
mode de vie. Or il suffit de privilégier les
transports en commun, le vélo ou la marche lorsque le trajet est assez court ou
bien de faire du covoiturage, diminuant par deux ou plus le nombre de voitures sur les routes.
Le chauffage étant également une source d’émissions de microparticules, il
faudrait ne l’utiliser que lorsque cela est nécessaire et isoler au mieux nos maisons. L’installation d’un foyer fermé pour le chauffage au bois peut
également diminuer le taux de microparticules de moitié.
L’innovation de moteurs et systèmes
d'alimentation non polluants
En effet, sous la pression de l'augmentation du prix du pétrole et face aux
préoccupations environnementales, l'émergence des véhicules électriques ou des
moteurs à hydrogène permet de limiter l'émission de gaz polluants, bien que
l'énergie grise fournie afin d'assembler ces concentrés de technologies reste
discutable : des métaux lourds comme le nickel ou le plomb sont contenus
dans les accumulateurs et piles à combustible pour les voitures électriques et
le dihydrogène utilisé pour faire fonctionner les moteurs à hydrogène est
synthétisé à partir d'une autre source d'énergie potentiellement émettrice de
microparticules. D'autres combustibles comme les biocarburants peuvent
cependant remplacer ceux des moteurs Diesel, tels que les huiles végétales.
Cependant, ce type de carburant n'est actuellement autorisé que pour le secteur
primaire : agriculteurs, pêcheurs,...
Ces préventions peuvent être réalisées par le particulier en
installant des filtres à particules. Aussi, des véhicules électriques mis
en place dans Paris, les Autolib', et l’expansion des transports en commun (tramway,
lignes de métro, transilien,...) sont une alternative durable afin de réduire
l'émission des microparticules dans l'atmosphère.
La production d'électricité reste de plus l'une des activités les
plus polluantes à cause des processus de production l'électricité comme les
centrales électriques et celles à gaz. Cela a pour conséquence de former des
« smog » dans certaines grandes villes, comme le « smog de
Paris ». Des solutions non polluantes voire écologiques existent,
cependant le coût des infrastructures (géothermie) et des contraintes
climatiques fragilisent l'efficacité de l'énergie renouvelable (éoliennes).
En tant que particulier, nous pouvons principalement diminuer notre consommation
en électricité et en gaz, privilégier les ampoules basses consommation ou trier
nos déchets pour éviter des émissions de gaz nocifs par les usines
d'incinération.
Ainsi, l’exposition à ces microparticules n’est pas
sans danger pour la santé et les voies d’entrée sont principalement respiratoires.
Cette exposition peut causer des cancers et de l’asthme. Il est donc nécessaire
de s’en préoccuper en agissant sur les émissions pour les diminuer, à défaut de
pouvoir les supprimer. Nous pourrions également réduire les effets provoqués
sur les plantes, la biodiversité et le climat, puisque les humains ne sont pas
les seuls atteints par ces émissions.
Bibliographie
[1] GARRIC, Audrey.« Pollution de
l'air : quels risques pour quels niveaux de protection ? ».15.03.2014.Le Monde. http://www.lemonde.fr/planete/article/2014/03/14/pollution-de-l-air-quels-risques-pour-quels-niveaux-de-protection_4383192_3244.html#vp5C3WGv2Li5c0Dr.99
(consulté le 16/03/2015)
[2] CHAUVEAU, Loïc.« Particules
fines : qui sont les responsables ? ». 14/03/2014. Sciences et Avenir. http://www.sciencesetavenir.fr/natureenvironnement/20140314.OBS9855/particules-fines-qui-sont-les-responsables.html (consulté le 25/03/2015)
[3] GARDINER, Beth ; GHOSAL, Aniruddha ;
PLATT, John R. ; LEI, Song [et al.]
23-29/04/2015.Dossier « Pollution, l’enfer des villes ».Courrier international.n° 1277.pp. 30-37
[4]
Centre Interprofessionnel Technique d’Etudes de la Pollution Atmosphérique :
« Poussières en suspension ».22/07/2014.http://www.citepa.org/fr/air-et-climat/polluants/poussieres-en-suspension (consulté le 23/03/2015)
[5] Organisation Mondiale de la
Santé : Qualité de l’air ambiant (extérieur) et santé.Mars 2014.http://www.who.int/mediacentre/factsheets/fs313/fr/ (consulté le 10/03/2015)
[6] GRACCI, Fiorenza.« Les
particules fines augmentent les risques d’autisme chez les enfants à
naître ».Sciences et Vie.23/12/2014.http://www.science-et-vie.com/2014/12/respirer-particules-fines-grossesse-accroit-les-risques-dautisme-chez-bebe/ (consulté le 29/04/2015)
[7] [sn].« Lutte contre la
pollution de l’air ».M ta Terre.http://www.mtaterre.fr/dossier-mois/archives/chap/749/La-lutte-contre-la-pollution-de-l-air (consulté le 30/04/2015)