Aspartame et santé

Camille DIGNAN; Camille FERANDELLE; Léa JUILLARD; Déborah LECUYER; Mélanie NGO
                                                                                                                     
L’aspartame a été découvert en 1965, c’est un édulcorant c’est à dire un produit ayant un goût sucré. Il se présente sous forme de poudre blanche cristalline, inodore, que l’on retrouve dans de nombreux produits. Depuis sa mise sur le marché en 1974 aux Etats Unis, la toxicité de l’aspartame est un sujet très controversé. Certaines études sont contradictoires, il est donc difficile d’établir avec certitude la toxicité de l’aspartame et son impact sur la santé des consommateurs.
Y’a t-il un risque de boire des boissons light ?

Historique 

James Schlatter, chimiste de la société américaine Searle, découvre par hasard l’aspartame en 1965, alors qu’il travaillait sur un traitement contre l’ulcère. En essayant de synthétiser la gastrine (une hormone digestive), il obtient un produit intermédiaire ayant un goût sucré, l’aspartame. [1]
La société fait alors une demande d’autorisation de mise sur le marché auprès de la FDA (Food and Drug Administration), accordée en 1974. [1] Dès l’année suivante, suite à des doutes sur la nocivité de l’aspartame, la mise sur le marché est suspendue. [1] La FDA demande une réévaluation des études expérimentales du laboratoire Searle sur l’aspartame. Cette enquête va démontrer l’inexactitude des tests réalisés par le laboratoire et la dissimulation de faits importants par la société. [1] Malgré les fausses déclarations, la société n’est pourtant pas poursuivie en justice.

En 1981, le gouvernement, dont fait partie le président de la société Searle, Donald Rumsfeld, nomme un nouveau président à la tête de la FDA, Arthur Hayes. Celui-ci autorise de nouveau la mise sur le marché de l’aspartame.
Les opposants à l’aspartame font alors planer le doute sur la possibilité d’un conflit d’intérêts. [1] L’aspartame est alors autorisé aux Etats-Unis dans les aliments solides et accepté en 1983 dans les boissons gazeuses comme édulcorant. Il sera autorisé en France en 1988.
Depuis, cet édulcorant fait l’objet de nombreuses recherches approfondies dont des études expérimentales et des études de consommation et épidémiologiques.

  




Figure 1 : Historique de l’aspartame
Référence : http://culturesciences.chimie.ens.fr/content/laspartame-un-édulcorant-controversé

Qu’est-ce que l’aspartame ?

L’aspartame est composé de deux acides aminés, l’acide L-aspartique et L-phénylalanine. De formule brute : C14H18N2O5.





Figure 2 : Ester méthylique de l’aspartyl-phénylalanine (Aspartame)

L’aspartame possède un pouvoir sucrant environ 200 fois supérieur à celui du saccharose, ce qui intéresse donc beaucoup l’industrie. Il est utilisé pour sucrer les aliments, les boissons lights et les médicaments car ils ont un faible apport calorique. L’aspartame est un additif alimentaire, de code E951, qui est ajouté au produit alimentaire de base pour améliorer la conservation, le goût, la couleur, l’aspect etc.

L'aspartame, contrairement au sucre, ne peut servir à la formation de graisses dans les tissus adipeux ni aux autres rôles métaboliques utiles de ce dernier. De plus, il n’est pas cariogène (ne provoque pas de carie). Après ingestion, l'aspartame s'hydrolyse en acide aspartique, phénylalanine et méthanol.
A température ambiante, il est le plus stable à pH4,3 (demi vie de 300 jours). Plus le pH augmente, plus la décomposition de l’aspartame sera rapide. L’aspartame a été autorisé sur la base d’une évaluation de risque par le Comité Scientifique de l’Alimentation Humaine (CSAH, intégré ensuite dans l’Autorité Européenne de Sécurité des Aliments – AESA -) réalisée en 1985 établissant une dose journalière admissible (DJA) de 40 mg/kg pc/j. Cette DJA est dérivée d’une dose sans effet de 4 g/kg pc/j correspondant à la dose la plus forte utilisée au cours d’une étude de cancérogénèse (incidence des tumeurs du cerveau) chez le rat.

A titre d’exemple, en prenant une hypothèse majorante [2], un homme de 60 kg consommant tous les jours 2 litres de soda « light » contenant de l’aspartame ne serait exposé qu’à hauteur de la moitié de la DJA : il devrait boire 4 litres de soda pour atteindre cette dose. [3]

L’utilisation quotidienne de cet édulcorant (E 951)

On retrouve l’aspartame dans plus de 6000 produits en Europe, il est autorisé comme additif alimentaire par : EFSA (Autorité européenne de sécurité des aliments).
Il est codifié E 951 et E 962 lorsqu’il est associé à l’acésulfame de potassium. Sa teneur dans les aliments est réglementée par une directive européenne (2003/115/CE) et un texte français (arrêté du 21 juillet 2004). A savoir les aliments qui en contiennent doivent porter obligatoirement la mention « Contient une source de phénylalanine ».

Quelles sont les denrées alimentaires contenant E 951 
Souvent retrouvé comme édulcorant de table, dit aussi sucrette (commercialisé par : Canderel® ; Nutrasweet ®…), il permet de sucrer la plupart des produits dont le besoin en sucre est important tels que les boissons ou encore dans les salades de fruits (L’aspartame renforce le goût des fruits et des arômes fruités par exemple). Il est aussi incorporé dans divers aliments : les chewing-gums, les boissons lights, les desserts, les confiseries, les produits laitiers, des produits amaigrissants voire hypocaloriques. [5]






Figure 3 : Liste exhaustive de produits dans lesquels on retrouve l’aspartame


L’aspartame ne se dissout pas aussi facilement que le sucre dans les liquides, mais avec son pouvoir sucrant il n’est pas nécessaire d’en mettre une très grande quantité, de ce fait, sa solubilité ne pose en pratique aucun problème d’utilisation.
Les édulcorants comprenant E 951 peuvent être utilisés dans les recettes de cuisine, seulement il sera constaté une perte du goût sucré car la molécule est instable à partir de 30°C. Transformant l’aspartame progressivement en dicétopipérazine, qui par la suite se dégrade partiellement en méthanol, phénylalanine et acide aspartique. Causant la perte du pouvoir sucrant, donc le goût sucré, si l’on souhaite l’utiliser pour les aliments cuits il faut utiliser des recettes spécifiques à son utilisation disponible vers les fabricants de l’édulcorant de table. [6]

En quoi est-ce utile pour la santé
D’après une étude portée par des experts en santé, nutrition et en sécurité alimentaire internationale, qui se sont retrouvés lors de la conférence « Low Calorie Sweeteners, Health and Consumers », organisée par la Nutrition Research Foundation (Fundación para la Investigación Nutricional - FIN), les professionnels de santé ont conclu à un aspect positif de la prise d’aspartame car il va permettre de réduire une partie de l’apport calorique et de l’obésité dans le monde ainsi que la baisse du risque de diabète. Effectivement le sucre fait partie intégrante de notre nutrition journalière, de ce fait la prise doit être régulée pour les personnes désirants faire attention à leur poids tout en profitant de la saveur du sucre.

L’aspartame aide au traitement du diabète, en effet, celui-ci n’affecte pas le taux de sucre dans le sang (la glycémie)  des personnes diabétiques à court et long termes. Les aliments et les boissons édulcorées avec de l’aspartame permettent aux personnes diabétiques d'avoir un choix de produits beaucoup plus vaste et une plus grande flexibilité pour calculer la prise d’hydrates de carbone totale. Ainsi, les produits dont le sucre est remplacé par de l’aspartame peuvent les aider à suivre les recommandations nutritionnelles en continuant de s'alimenter avec des produits qui ont bon goût. [7]

L’aspartame aiderait également à la perte de poids. En effet, les produits contenant de l’aspartame étant pauvres en calories, l’utilisation de ces produits couplée à une activité physique régulière peut aider à la gestion du poids. De plus, les effets de l’aspartame sur le contrôle du poids ont été analysés récemment par la Bibliothèque d’analyse des preuves (Evidence Analysis Library, EAL) de l’Association Américaine de Diététique (ADA). L’utilisation de l’aspartame par des personnes suivant un régime avec très peu de calories peut être associée à une perte de poids accrue et n’affecte pas l’appétit ou la prise de nourriture.  [7]

L'aspartame est donc un édulcorant présent dans de nombreux aliments pour remplacer le sucre. Il est utilisé pour ses nombreuses qualités de préservation et son utilité pour le traitement de certaines pathologies.
Danger de l’aspartame sur la santé 
Danger des composants de l’aspartame
Cependant, d’après certaines études, l’aspartame serait dangereux pour la santé notamment à cause de sa composition.

L’aspartame est majoritairement composé de phénylalanine (50%). Celle-ci est naturellement présente dans le cerveau de chaque individu. En ingérant l’aspartame, nous augmentons donc la quantité de phénylalanine dans le cerveau et dans le sang. Ce taux excessif peut conduire à une dépression, et d’après certaines études, des tumeurs au cerveau, de la schizophrénie ou encore une attaque d’apoplexie (suspension brutale des fonctions du cerveau).  Pour les personnes souffrant de phénylcétonurie (trouble héréditaire du métabolisme ne permettant pas de dégrader la phénylalanine), qui touche 1 personne sur 16 000, il est conseillé de s’abstenir de consommer de l’aspartame, qui accumulerait de la phénylalanine et conduirait aux maladies précédemment citées. [8]

L’aspartame est également composé à 40% d’acide aspartique, qui en excès, détruit les cellules nerveuses du cerveau. Lorsqu’au moins 75% des cellules nerveuses d’une zone du cerveau sont détruites, les médecins vont pouvoir diagnostiquer des maladies telles que la sclérose en plaque (maladie qui touche le système nerveux central), la perte d’audition, la perte de mémoire, les crises d’épilepsie, la démence du Sida, la maladie d’Alzheimer, la maladie de Parkinson. [8]

Le méthanol, présent à 10% dans l’aspartame est particulièrement très toxique et très lent à s’éliminer. Il se dégrade avec la chaleur en acide formique et en formaldéhyde, qui est une neurotoxine mortelle. Un excès de méthanol entraine donc entre autres des trous de mémoire, des maux de tête, des troubles du comportement, vertiges, problèmes de vue, engourdissements, etc. Le formaldéhyde est cancérigène, altère la rétine, nuit à la production de l’ADN et cause des malformations prénatales. Le dioxopipérazine ou DKP est issu de la dégradation de l’aspartame, il engendre notamment des tumeurs au cerveau. Il est synthétisé dans les boissons contenant de l’aspartame après un stockage prolongé de celle-ci. [8]

Cependant, il faudrait ingérer d’énormes quantités d’aspartame (plus de 95 sucrettes par jour), pour voir apparaître l’un de ces symptômes.

Des recherches controversées
En 1985, le Comité scientifique de l'alimentation humaine de la Commission européenne (CSAH) a établi une dose journalière admissible (DJA) de 40 mg/kg poids corporel. L’autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) a également adapté cette dose journalière. Pour atteindre cette limite, il faudrait ingérer 95 sucrettes ou 33 canettes de boissons light par jour et pour une personne de 60kg. Selon certaines études, en dessous de cette dose journalière, il n’y a aucun danger à ingérer de l’aspartame. [2]

Depuis, le comité CSAH a dû réévaluer les risques de l’aspartame en 1989, 1997, 2002 et 2006, notamment à cause des recherches qui l'incriminaient. Cependant l’Europe n’est pas la seule à mettre en doute les dangers de l’aspartame car d’autres pays comme les Etats-Unis réévaluent fréquemment les risques de l’aspartame. [2]
Selon de récentes études, l’aspartame aurait des effets indésirables sur les diabétiques, les femmes enceintes ou encore augmenterait le risque de cancer. En effet, les derniers résultats datent de janvier 2013, et sont tirés d’une étude française qui a suivi plus de 66 000 femmes pendant 14 ans. Il a été prouvé que le risque de diabète est plus élevé lorsqu’il s’agit de boissons « light » que de boissons sucrées. Les femmes consommant plus de 603 ml par semaine de boissons « light » ont un risque multiplié par 2,21. [4]
En 2010, une étude danoise menée sur 59 334 femmes enceintes a permis de démontrer qu’une femme enceinte consommant une boisson light par jour augmenterait son risque d’accouchement prématuré de 27%. Quatre cannettes de boissons light par jour augmenteraient ce risque de 78%. De plus, les enfants nés prématurément seraient sujets à des retards de développement deux fois plus importants à l’âge de deux ans, à un risque d’autisme multiplié par cinq, et notamment à une morbidité respiratoire augmentée. [9]

Des études scientifiques publiées par la fondation italienne Ramazzini depuis 2007, montrent que la consommation régulière d’aspartame chez le rongeur entraîne une augmentation du nombre de cancers. Ce phénomène est amplifié lorsque l’exposition démarre pendant la grossesse. Mais pour l’instant, ces effets n’ont pas été vérifiés chez l’homme. [2]
Après ces deux récentes études mettant en cause l’aspartame, en 2011 l’Anses (Agence nationale de sécurité sanitairede l’alimentation, de l’environnement et du travail) a décidé d’« examiner sans délai ces nouvelles études en vue d'éventuelles recommandations aux autorités françaises, et saisira le cas échéant l'autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA), compétente sur le sujet pour une réévaluation du risque. » [8]
Depuis, l’Anses s’est autosaisie de l’évaluation des risques engendrés par les édulcorants intenses, et a estimé que les données scientifiques disponibles pour le risque d’accouchement prématuré sont insuffisantes pour conclure. D’autres recherches sont donc nécessaires afin que l’Anses puisse conclure sur le risque d’accouchements prématurés dû à la consommation de l’aspartame sur les femmes enceintes. [8]

D’autres études en revanche, montrent que l’aspartame n’aurait aucun danger pour la santé. De plus, certains démontrent que les études réalisées sur les rongeurs ne sont pas valables car il s’agissait de rats particulièrement sujet aux tumeurs, et donc par conséquent les résultats ne pouvaient pas être correctement interprétés.
Quelles solutions ?
Pour éviter d’ingérer de l’aspartame ou des édulcorants souvent toxiques pour l’organisme, il est conseillé de boire 2 litres d’eau par jour et cuisiner soi-même, donc éviter de manger des plats tout prêts. Il faut également lire attentivement les étiquettes des produits, afin d’éviter le plus possible les édulcorants tels que l’aspartame.

Des études ont tenté de démontrer le potentiel cancérigène de l’aspartame. Cependant, elles n'ont pas permis de le compromettre si sa consommation reste raisonnable et ne dépasse pas les 40 mg par kilo et par jour (dose journalière acceptable).
On cherche donc déjà à remplacer l'aspartame par la stevia qui est une plante originaire d'Amérique du Sud principalement mais qu'on retrouve aussi en Chine, en Afrique et dans le Sud de la France. On désigne par "stevia" l'édulcorant extrait des feuilles de cette plante. C’est donc d’origine complètement naturelle, sans calories et par conséquent fortement utilisée pour les régimes. Son utilisation comme édulcorant a été autorisée le 14 novembre 2011. Elle possède un étonnant pouvoir sucrant, 250 à 300 fois supérieur à celui du saccharose. Elle reste cependant encore très cher 250€/kg et un arrière-goût de réglisse persisterait dans une préparation ne contenant que de la stevia, mais lorsqu’on ajoute un autre parfum comme dans les boissons lights, son goût est plus discret.

L'aspartame présenterait donc des dangers pour la santé notamment avec l'augmentation du risque d'avoir certaines maladies. Ce danger est lié a sa composition mais il reste faible puisque la consommation moyenne de se produit ne dépasse pas la dose journalière acceptable.

Sondage

Suite aux nombreuses controverses provoquées par l’aspartame, nous avons décidé de réaliser un sondage, afin de connaître les raisons, la fréquence d’ingestion de l’aspartame, l’avis des consommateurs sur l’aspartame ainsi que la dangerosité ou non des doses journalières ingérées.

A l’aide d’un sondage réalisé sur quatre-vingt personnes majoritairement des femmes (72.5% contre 27.5%) âgés de 17 à 56 ans, nous avons pu observer les résultats suivants :
Une très grande majorité (96.3%) ne consomme que rarement ou jamais de boissons lights, seulement 3.7% en boivent tous les jours. Pour les personnes qui en boivent, le volume consommé par semaine est au maximum de 4L, ce qui reste très inférieur à la quantité maximum recommandée par jour (4L/jour).
Un peu plus de la moitié (58.9%) pense être capable de reconnaître un sucre naturel d’un sucre synthétique.
Les raisons pour lesquelles ces personnes boivent des boissons lights sont diverses, la majorité en consomment pour le régime (36.8%) ou sans vraiment de raison apparente (28.9%), 14.5% à cause du diabète, 10.5% pour le goût et 9.2% pour d’autres raisons (seules boissons disponibles, etc.)
88.8% pensent que les boissons lights sont mauvaises pour la santé contre 11.2% pensant le contraire.
72.8% pensent savoir ce qu’est l’aspartame. La plupart définissent l’aspartame comme un édulcorant artificiel remplaçant le sucre avec un pouvoir sucrant très supérieur à ce dernier et dangereux pour la santé.
82.5% pensent que l’aspartame est dangereux pour la santé mais 90% considèrent ne pas avoir suffisamment d’information sur ce produit.

Nous pouvons conclure qu’aucune des personnes ayant participé à ce sondage ne consomment des quantités supérieures à la dose journalière recommandée de boissons lights, la plupart savent ce qu’est l’aspartame et quelle est dangereuse pour la santé mais pensent que les médias ne nous en informent pas suffisamment sur ce sujet. D’après notre sondage, l’âge et le sexe n’influent pas sur la consommation et les raisons de la consommation de boissons lights (donc d’aspartame). Ce sondage n’ayant été effectué que sur 80 personnes, avec majoritairement des femmes, il ne nous permet pas d’affirmer avec certitudes les quantités d’aspartame consommées par la population, la fréquence d’utilisation ainsi que les raisons de cette consommation.

Conclusion

L’objectif était de chercher si l’aspartame comportait un danger pour notre santé, or d’après l’analyse des documents scientifiques, les données restent insuffisantes, ne permettant pas de mettre en évidence le risque ou non lié à sa consommation sur le long-terme. Etant un sujet d’étude sensible pour la santé au niveau mondial, les professionnels cherchent à le remplacer par des produits naturels, la dernière en date : la stévia. La conclusion sur son utilisation reste personnelle et certains y verront un bienfait. Tandis que d'autres, vont préférer l'utilisation du sucre de table par simple habitude en évitant ainsi toutes les questions liées à l'aspartame.

Références 

[1] Regard sur le monde. Histoire de l’Aspartame, histoire d’un poison. http://www.regardsurlemonde.fr/blog/histoire-de-laspartame-histoire-dun-poison. (Consulté le 4 avril 2015)

[2] Anses (Agence nationale de sécurité sanitairede l’alimentation, de l’environnement et du travail). Édulcorants alimentaires : l'Anses analyse les résultats de deux études récentes.https://www.anses.fr/fr/content/édulcorants-alimentaires-lanses-analyse-les-résultats-de-deux-études-récentes. (Consulté le 10 mars 2015)

[3] Ministère de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt. Risques alimentaires : l’aspartame. http://alimentation.gouv.fr/aspartame. (Consulté le 5 mars 2015)

[4] Anses (Agence nationale de sécurité sanitairede l’alimentation, de l’environnement et du travail). Évaluation des bénéfices et des risques nutritionnels des édulcorants intenses. https://www.anses.fr/sites/default/files/documents/NUT2011sa0161Ra.pdf. (Consulté le 24 février 2015).

[5] Journal de l’environnement. Autorisation de l'utilisation d'édulcorants dans certaines pâtes à tartiner à base de fruits ou de légumes et de colorants dans les fromages affinés aromatisés. http://www.journaldelenvironnement.net/article/autorisation-de-l-utilisation-d-edulcorants-dans-certaines-pates-a-tartiner-a-base-de-fruits-ou-de-legumes-et-de-colorants-dans-les-fromages-affines-aromatises,51757. (Consulté le 24 février 2015).

[6] GreenFacts, Faits sur la durabilité, la Santé et l’Environnement. Aspartame. http://www.greenfacts.org/fr/aspartame/n-2/aspartame-1.htm#0. (Consulté le 25 février 2015).

[7] Centre d’information sur l’aspartame. Réponses à vos questions. http://www.aspartame-info.fr/questions.html. (Consulté le 3 mars 2015)

[8] Dangers alimentaires. Produits light et aspartame = danger. http://www.dangersalimentaires.com/2010/11/produits-light-et-aspartame-danger/. (Consulté le 23 février 2015)

[9] Parents infobébés. Aspartame : quels dangers pendant la grossesse ? http://www.infobebes.com/Grossesse/Nutrition/Alimentation-et-grossesse/Les-aliments-a-eviter-pendant-la-grossesse/Aspartame-quels-dangers-pendant-la-grossesse. (Consulté le 23 février 2015)