BONNEAU Cyril, MILLECAMPS Lucas, PINCET
Gwendoline, PLOT Marianne, SAINTEMARIE Doriane, SIRVIN Manon
Une phytohormone
est une hormone produite par une plante. Ces hormones sont capables de réguler
la croissance et la communication des plantes entre elles. Pour être
caractérisée comme telle une substance doit être endogène c’est à dire non
disponible dans l’environnement, oligodynamique ce qui signifie qu’elle doit
agir à faible dose et vectrice d’une information. C’est ainsi que l’on différencie
les phytohormones des substances trophiques (relatives à la nutrition des
organes et tissus).
Les
plus grandes familles sont : Les auxines (contrôle de la croissance et
développement des plantes), les gibbéréllines (régulateur naturel de
croissance), les cytokinines
(stimulateur de la division cellulaire), l’acide absissique (régulation de la
dormance de la plante) et l’éthylène (perturbe l’élongation cellulaire).
Dans
le domaine médical on utilise ces phytohormones principalement pour les
symptômes liés à la ménopause puisque qu’elles ont des structures semblables
aux hormones humaines telle que les œstrogènes et peuvent donc se fixer sur nos
récepteurs hormonaux (qui se trouvent à la surface des cellules) et y avoir des
effets similaires ou opposés.
Actuellement
les phytohormones sont disponibles en vente libre (sans ordonnance) et non
considérés comme des médicaments mais plutôt des compléments alimentaires.
Pouvons-nous envisager une utilisation
des phytohormones comme médicaments ?
Fonctionnement d’une hormone
Source : L’acquisition de la
capacité de reproduction chez l’homme. www.coursvt.com
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Les
phytohormones vont être produites par la plante mais vont être capables grâce à
leur similitude avec celle des Hommes de se fixer sur nos récepteurs pour
provoquer des effets variés. Cependant elles n’ont pas exactement les même
caractéristiques que les hormones humaines, le mécanisme n’est pas encore très
bien connu mais certaines études ont montré que lors d’un grand apport en
hormone humaine, on observe un rétro contrôle négatif sur les glandes qui les
produisent afin de réduire leur production. Sur le long terme cela peut
entrainer dégénérescence et atrophie de la glande. Les phytohormones ont plutôt la capacité de stimuler la production
d'hormones au niveau de ces glandes, de rendre les
récepteurs hormonaux plus sensibles et parfois de modifier la réponse
cellulaire quand il y a activation de leurs récepteurs.
Leur effet est plus faible que celui des hormones
humaines mais reste cependant très intéressant. Cependant nous ne savons pas
encore si les phytohormones ne présentent réellement aucun risque d’atrophie
glandulaire.
Une large utilisation
La phytothérapie est principalement utilisée comme dit précédemment
par les femmes souffrant des symptômes de la ménopause mais aussi pour
d’autres symptômes tel que : des
palpitations, des troubles liés à l'anxiété, les jambes lourdes, les troubles
digestifs, les hémorroïdes, la perte de poids, la fatigue, l'élimination d'eau
par le rein, la toux et les refroidissements et enfin les douleurs articulaires
mineures. Dans le cas de la ménopause, on utilise des phytoestrogènes qui
protègent contre les carences et la surproduction d’hormone, elles
rééquilibrent ainsi le système hormonal des femmes. Concernant les
phytohormones alimentaires, elles peuvent être prises à long terme, à des doses
respectant les indications médicales puisqu’elles font partie d’une
alimentation saine.
Source : [5]
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Le
plus gros problème rencontré par la phytothérapie est le fait que pour la plus
grande majorité des plantes que l’on utilise les vertus ne sont pas reconnues, car
il est difficile de prouver leur efficacité. Cependant certaines plantes comme
le Millepertuis et l’Harpagophytum (ou Griffe du diable) ont prouvé leur
efficacité grâce au test en « double aveugle » (voir schéma). [5]
-
Le Millepertuis est utilisé pour les cas de
dépression légère à modéré cependant il s’avère dangereux lorsqu’il est utilisé
comme huile et appliqué directement sur la peau, il provoquerait des
sensibilités graves au soleil, en trop grande quantité par voie orale il
pourrait aussi être dangereux. En médecine on utilise donc ses fleurs et ses
feuilles. Le produit responsable de ces vertus serait l’hyperforine, mais les
scientifiques ont longtemps pensé qu’il s’agissait de l’hypéricine. [1]
-
L’Harpagophytum est plutôt utilisé pour les
douleurs musculaires et osseuses, sa racine est aussi utilisée pour la
stimulation du système immunitaire, la détoxination et la purification
sanguine. On la trouve principalement en Afrique du Sud et on utilise en
général sa racine secondaire. Cette plante contient de nombreux principes
actifs très puissants, ils peuvent donc provoquer des réactions allergiques.
C’est pourquoi il est recommandé de commencer le traitement par de toutes
petites doses. Il peut aussi être associé à d’autres plantes comme le Curcuma
le Gingembre et le Poivre noir pour donner un anti inflammatoire très puissant.
[2]
Les mécanismes
d’action de ces plantes ne sont pas parfaitement connus, il est donc parfois
difficile de savoir si la substance qui procure la vertu à la plante est
réellement une hormone ou s’il s’agit
d’une autre catégorie de molécule.
Ce
traitement possède certains avantages par rapport aux traitements traditionnels, en effet la durée peut
varier selon la plante et les symptômes du patient pour permettre une
adaptation du traitement par rapport au mode de vie du patient, il est même
possible d’alterner entre certaines plantes ou de les combiner tout en faisant
attention aux contre-indications ! C’est la hausse des risques provoqués par
certains médicaments qui incite la population à se tourner vers une forme de
thérapie qui a toujours été utilisée. [5]
Nous
avons donc remarqué que les phytohormones étaient efficaces pour soulager des
problèmes mineurs liés à des dérèglements hormonaux chez les individus
(ménopause), des désagréments du quotidien (trouble du sommeil) ou encore des
problèmes qui apparaissent avec l’âge comme les douleurs articulaires.
Cependant, on ne les utilise pas pour de sérieux problèmes de santé car leur
efficacité demande encore à être prouvée pour la majorité d’entre elles.
Un
certain nombre de chercheurs se sont penchés sur les effets de ces
phytohormones.
Risques
liés aux phytohormones
Pour
la mise en évidence des aspects secondaires de ces substances, des études ont
été réalisés sur des animaux et sur des cultures cellulaires. Pour cela, on leur a administré quotidiennement des
phytohormones. Au bout de quelques temps, ces doses journalières ont provoqué
des cancers chez les sujets. Il en ressort que certaines de ces hormones
végétales aide la progression de cancers, ou en sont cause.
Une étude statistique a été réalisée en
Australie, sur six ans, démontrant, après l’utilisation de traitements
hormonaux et phytohormonaux, une
augmentation nette du nombre de cancer de la thyroïde et du sein, chez les
femmes en ménopause.
Ainsi, les hormones à base de soja
étant très présentes dans les traitements hormonaux il a été nécessaire de se
pencher davantage sur leurs effets. Aussi
il a été observé, lors de ces recherches, que les populations
occidentales qui mangent peu de soja
(riche en isoflavones),
sont plus sujettes à des mutations cellulaires,
après la prise de phytohormones. Cependant des études cliniques réalisées dans
certains pays asiatiques où la consommation de soja est très élevée n’ont
révélé aucun problème. Nous pouvons donc supposer que certaines habitudes
alimentaires permettent de « s’immuniser » contre les risques
associés à la prise de phytohormones. Cela pourrait expliquer que les femmes
asiatiques présentent un risque réduit du cancer du sein. Pour ces raisons, en
Europe, le soja est largement contre-indiqué car en règle générale, il est
suspecté d’être responsable de cancer.
Actuellement il n’y a pas encore eu
assez d’études sur l’efficacité et les risques sanitaires des phytohormones, ni
sur les doses permettant un bénéfice tout évitant tout risques sur la santé
humaine. Ainsi, la prise de phytohormones est déconseillée aux femmes ayant des
antécédents de cancers du sein, aux femmes enceintes, aux personnes
immunodéprimées mais aussi aux jeunes en pleine croissance. En effet, la
consommation de phytohormones chez la femme enceinte peut créer des complications et des
problèmes hormonaux : un effet laxatif dû à ces hormones peut provoquer des contractions ou une
fausse couche et peut également augmenter
ou diminuer considérablement la pression
artérielle
Il est donc préférable d’avoir un avis
médical avant la prise de compléments alimentaires à base de phytohormones. Il
est aussi demandé d’avoir une alimentation équilibrée et sans abus, lors de la
prise de ces hormones. Tant
qu’il n’existera pas de consensus au sein de la communauté scientifique et
médicale. Il est fortement conseillé d’en consommer avec la plus grande
précaution ou encore de les éviter.
Nous avons
encore du mal à évaluer les seuils de toxicité, les posologies adéquates et les
effets secondaires concernant ces substances. Il faut donc être vigilant et les
prendre avec précaution. On observe donc un effet paradoxal entre leurs
contre-indications et la règlementation, détaillée par la suite, qui est très
allégée.
Un traitement peu réglementé
Les phytohormones ne sont pas qualifiées de
médicaments mais sont des compléments alimentaires qui peuvent être achetés
sans ordonnance au supermarché. Il y a donc peu de réglementation au sujet de
ces produits. Cependant, ce marché étant en pleine expansion, l’utilisation de
médicaments à base de plantes est quand même réglementée pour assurer la
sécurité des usagers. En effet, on a relevé qu’un français sur deux utilisait
des médicaments à base de plantes pour soigner des maladies banales. [8]
Pour alléger la réglementation, les plantes pour lesquelles les
effets thérapeutiques ont bien été confirmés ont toutes été regroupées dans la
pharmacopée française par l’agence nationale de sécurité du médicament et des
produits de santé (ANSM). Elle détaille environ 147 plantes qui ont des rôles
précis. Les médicaments de phytothérapie traditionnelle c’est-à-dire dont
l’efficacité a été reconnue depuis plus de 30 ans ne nécessitent pas d’essais
cliniques pour être en vente libre dans l’union Européenne. L’ancienneté de ces
produits leur procure une garantie de sécurité et d’efficacité afin de réduire
les procédures de législation. [9]
Ces médicaments à bases de plantes doivent seulement recevoir une
autorisation de la part des autorités sanitaires pour pouvoir être mis sur le
marché. Il s’agit d’une autorisation de mise sur le marché (AMM) qui est
délivré par l’ANSM. Par ailleurs, ils doivent pouvoir s’administrer par voie
orale, externe ou par inhalation.
Même si la règlementation est très peu contraignante, il est fortement
recommandé de se faire conseiller auprès de spécialistes avant la prise de ces
substances car leurs avis à ce sujet sont très différents et souvent peu
favorables.
Comme
expliqué précédemment, les phytohormones servent à remplacer les hormones
animales. Aussi, avons-nous, longtemps, observé un partage entre les opinions
des différents professionnels travaillant dans le domaine médical.
Il a
été reconnu, en juillet 2014, que l’utilisation de certaines phytohormones
pouvait entraîner des cancers et bien
que, depuis, nombreux sont les professionnels qui les déconseillent à leurs
patients, certains médecins continuent de prescrire ces phytoestrogènes.
Nous
avons donc voulu nous pencher un peu plus sur l’avis des professionnels. Pour cela, nous avons demandé à quelques
personnes exerçant un métier dans le domaine sanitaire leur opinion.
Les avis des professionnels
« Tout ce que
je sais des phytohormones c’est qu’il s’agit
d’hormones végétales.» a déclaré Dr. Elisabeth PINCET – docteur
spécialiste en prothèses, aujourd’hui retraitée-.
Il
se pourrait donc que ce soit le manque d’information sur le sujet qui pousse
les médecins à faire aveuglément confiance aux dires des laboratoires et,
ainsi, à conseiller ces hormones de substitutions à leurs patients.
« Derrière
tout cela, ne faut-il pas voir la puissance gigantesque des intérêts financiers
en jeu, sans parler de la pratique au quotidien des gynécologues qui ne savent,
pour la plupart, pas faire autrement que prescrire des hormones de synthèse ?
Des gynécologues eux-mêmes, sont influencés par les laboratoires, par les
medias... » a souligné Dr.
Bérengère ARNAL-SCHNEBELEN - gynécologue et phytothérapeute – lors
de son interview avec Guy Roulier –praticien auteur et formateur [10]
Toutefois, l’attitude des chercheurs est en train de
changer. Ils semblent maintenant endosser un rôle préventif. En effet, ils
informent, aujourd’hui le public des dangers dus à l’utilisation des
phytohormones.
« Le traitement hormonal de la ménopause vise
à compenser la carence en œstrogènes. […]Le traitement n’est pas systématique et n’est pas
préventif. Il est réservé aux femmes qui souffrent de troubles du climatère (changements
hormonaux liés à l’arrêt des fonctionnements ovariens) et dont la qualité de
vie est altérée au moment de la ménopause. […]Les autorités de
santé internationale et française ont donc réévalué l’intérêt de ce traitement
et confirmé son utilité
dans les troubles du climatère pour des durées limitées et en tenant compte du profil
de risque de cancer et de maladie cardiovasculaire des patientes. »
Explique L’INSERM dans son article sur la ménopause. [11]
« "Quant aux autres produits comme les phyto-estrogènes extraits du soja par exemple, leur efficacité n’a pas été établie sur les symptômes de la ménopause et leurs risques non évalués. A ce jour, ils n’ont pas reçu l’approbation des autorités de santé et leur usage n’est pas recommandé. "
En résumé...prudence, car il n'y a pas eu d'étude à grande échelle permettant d'affirmer la non innocuité de ces produits d'origine naturelle, consommés de façon inhabituelle, notamment on ne peut pas être certains que ces œstrogènes d'origine naturelle n'augmente pas le risque des cancers hormonodépendants comme celui du sein par exemple. » a répondu Dr. Florence ROUGET - Pédiatre et chercheuse à IRSET-INSERM-.
Ainsi,
bien qu’il y ait toujours un manque d’information auprès de certains
professionnels, ces derniers semblent, depuis Juillet 2014, déterminés à prévenir les dangers apportés par les
traitements utilisant les phytohormones.
De
plus, nous nous sommes renseignés sur ces hormones d’origines végétales auprès
d’un pharmacien qui nous a expliqué que les essais cliniques étaient peu
nombreux voire inexistants, ce qui revient à ce qu’a annoncé Dr. Florence
Rouget : les recherches entreprises ne sont pas encore suffisantes. De
plus, comme les phytohormones sont considérées comme des “ compléments”,
un individu peut alors s’en procurer sans ordonnance. Aussi, les professionnels
se positionnant contre l’utilisation de ces hormones ne peuvent empêcher leurs
patients de s’en procurer et sont donc limités à de la prévention.
Pour conclure, les phytohormones sont des substances dont
les effets sont encore méconnus pour la plupart. Il faut donc que les
recherches soient approfondies afin qu’il n’y ait plus aucun doute sur les
effets indésirables voire toxiques de celles ci. En effet, les médecins sont
encore réticents à la prescription de ces hormones végétales, il est donc nécessaire
de ne pas prendre de décision seul à ce propos. Les conséquences de ces
substances peuvent être beaucoup plus nocives que l’on pense surtout chez les
personnes fragiles, tel que les femmes enceintes ou les personnes présentant des
troubles physiologiques. Il semblerait que l’utilisation de ces phytohormones ait
également un intérêt économique et éthique.
En effet, l’exploitation des hormones animales est mal vue puisque les animaux
qui les produisent sont des êtres vivants par conséquent plus similaires à
l’Homme que les plantes. En revanche utiliser les plantes à des fin
thérapeutiques est mieux perçu, l’exploitation végétale ne pose pas de problème
d’un point de vue éthique et coûte moins cher à l’exploitation. De plus, de nos
jours, la tendance du « bio » et l’utilisation des plantes est mieux
vu et semble attirer les consommateurs. La vente de compléments alimentaires
est donc en hausse car les consommateurs pensent que cela est bénéfique.
Cependant, ils ne connaissent aucun leurs effets et suivent seulement les
tendances. Ces personnes ne pensent donc pas à leur santé car en général ils
sont souvent mal informés ou tout simplement ils n’ont pas assez de connaissances
pour avoir un regard critique. Faut-il donc privilégié les coûts économiques ou
les risques liés à la santé ?
Annexe 1 : Tableau représentatif des différentes
familles de phytohormones [6] ; [7]
Famille
|
Propriétés
|
Exemple
|
Représentation
|
Auxines
|
Stimulation
de la croissance et de l'élongation cellulaire; régulation de l'élongation et
de la différenciation cellulaire.
|
Acide
indole 3-acétique
|
|
Cytokinines
|
Stimulation
de la division cellulaire;
régulation de la différenciation cellulaire. |
Zéatine
|
|
Gibbérellines
|
Elongation
des entrenœuds;
levée de dormance des graines et des bourgeons; régulation de l'utilisation des réserves lors de la germination. |
Acide
gibbérellique
|
|
Ethylène*
|
Cette
molécule a des effets variés parce qu'elle est très simple et donc peu
spécifique.
|
Ethylène
|
|
Acide
abscissique*
|
Régulation
de la croissance chez la plante
|
Acide
abscissique
|
Ici * signifie qu’il s’agit d’une molécule
considérée comme une hormone végétale
Remarque : Les
propriétés citées dans ce tableau correspondent aux effets appliqués sur les
plantes.
BIBLIOGRAPHIE
[1] [s.n]. MILLEPERTUIS : Bienfaits, Contraception, Dosage,
Effets, Fatigue, Posologie. http://millepertuis.eu/
(consulté le 22 avril 2015)
[3] Passeportsanté. Phytothérapie : se soigner avec les
plantes. http://www.passeportsante.net/phytotherapie-se-soigner-avec-les-plantes-l115 (consulté le 22 avril 2015)
[4] Arkopharma. Phyto Soya. http://www.arkopharma.fr/produits/complements-alimentaires/phyto-soya.html#.VTeoqiG8PGc (consulté le 22 avril 2015)
[5] MERAT, Marie-Catherine et TOURBE, Caroline et HANCOK, Coralie.
Médecines alternatives : celles qui marchent ; celles qui ne marchent
pas. Science et Vie, janvier 2015, n°1168, pp50-68
[6] Santé O
Naturel. Actualité plantes et phyto-hormone. Plantes et phyto-hormones. www.santeonaturel.com/actualite-plantes-et-phyto-hormones,63.html
(consulté en mai 2015)
[7]
Académie de Montpellier. Hormones végétales. webpeda.ac-montpellier.fr/wspc/ABCDORGA/Famille4/HORMONEVEGETALE.htm
(consulté en mai 2015)
[8] Doctissimo Santé. Phytothérapie : que dit la législation. http://www.doctissimo.fr/html/dossiers/phytotherapie/articles/16244-phytotherapie-legislation.htm (consulté
en avril 2015)
[9] Réglementation des médicaments à base de plantes. La situation
dans le monde. http://apps.who.int/medicinedocs/fr/d/Js2226f/3.html (consulté
en avril 2015)
[10]
Naturemania. Hormones végétales : ne laissons pas dire n’importe
quoi ! http://www.naturemania.com/naturo/hormonveg.html
(consulté en avril 2015)
[11]
INSERM. Ménopause. http://www.inserm.fr/thematiques/sante-publique/dossiers-d-information/menopause
(consulté en avril 2015)