Aurélien BIZET,
Léa GARCIA, Natacha GIRAUD, Alexandre LECOEUR, Priscillia MAJEUR.
Aujourd’hui, l’un des
enjeux majeurs de notre société est le maintien du développement durable. Or,
l’un des piliers est celui de l’environnement. C’est dans ce contexte que
l’analyse du cycle de vie est un outil promettant des améliorations plus ou
moins notables.
Il faut différencier l’Analyse du Cycle de Vie (ACV) et le cycle de vie :
Un cycle de vie en industrie agro-alimentaire est le regroupement de plusieurs étapes, en commençant par l’extraction des matières premières à son utilisation par le consommateur. Ces étapes peuvent durer plusieurs mois ou plusieurs années en fonction des produits ou du pays concerné.
Le but de l’analyse des cycles de vie en industrie agro-alimentaire est de quantifier les impacts environnementaux d’un produit durant toute sa « vie ». Il va servir à informer le consommateur des impacts causés par ce produit.
Il faut différencier l’Analyse du Cycle de Vie (ACV) et le cycle de vie :
Un cycle de vie en industrie agro-alimentaire est le regroupement de plusieurs étapes, en commençant par l’extraction des matières premières à son utilisation par le consommateur. Ces étapes peuvent durer plusieurs mois ou plusieurs années en fonction des produits ou du pays concerné.
Le but de l’analyse des cycles de vie en industrie agro-alimentaire est de quantifier les impacts environnementaux d’un produit durant toute sa « vie ». Il va servir à informer le consommateur des impacts causés par ce produit.
Les
différentes étapes du cycle de vie et les étapes correspondant à leur analyse.
Tout
produit possède un cycle de vie pendant lequel il consommera des ressources
naturelles. Ce cycle de vie est composé de la naissance, de la vie et de la
mort du produit.
La
naissance est la
phase allant de la production jusqu’à la distribution du produit vers
l’utilisateur.
Naissance (production et distribution)
Etapes
|
Ressources
consommées
|
Extraction ou
production des matières premières
|
Matières premières, substances
dangereuses, énergie, eau.
|
Transport des
matières premières
|
Carburant.
|
Production des
différents composants
|
Matières premières, substances
dangereuses, énergie, eau.
|
Transport des
différents composants
|
Carburant.
|
Assemblage des
différents composants
|
Energie.
|
Emballage
|
Pétrole et produits synthétiques,
énergie, eau.
|
Transport de
produit fini et distribution
|
Carburant.
|
Figure
1 : Naissance (production et distribution)_réalisée par nos soins
L’analyse
de toutes les étapes qui ont été nécessaires pour fabriquer un produit est
appelée écobilan.
Il faut exploiter des ressources minérales,
végétales ou animales. L’utilisation d’engins et de machines est donc
nécessaire. Il faut également prévoir une source d’énergie telle que l’eau ou
des produits auxiliaires (engrais, pesticides, substances chimiques, etc.) ou
encore des espaces naturels adaptés aux cultures et aux élevages.
Le
transport des matières premières nécessite des moyens de transports (camions,
avions, bateaux) et des infrastructures de transport (routes, rails, ports).
La
transformation en produit fini dans l’usine se réalise grâce à des machines et
des outils, des produits auxiliaires, de l’énergie et de l’eau.
La vie est la phase qui suit
l’acquisition, pendant laquelle le produit est consommé ou remplit sa fonction
auprès de son utilisateur.
Vie
(utilisation)
Etapes
|
Ressources
consommées
|
Transport
|
Carburant.
|
Déballage
|
/
|
Préparation/Usage
|
Energie, eau, autres matières
premières, produits dangereux.
|
Entretien
|
Energie, eau, matières premières,
produits dangereux.
|
Figure 2 : Vie
(utilisation)_réalisée par nos soins
Une
fois vendu, l’utilisation du produit
nécessite souvent de la place au sol et des appareils électriques (issus d’une
fabrication préalable).
La mort est
la phase où le produit est devenu
déchet. Il faut alors le valoriser ou l’éliminer.
Mort (valorisation ou élimination)
Etapes
|
Ressources consommées
|
Collecte
|
Carburant.
|
Transport
|
Carburant.
|
Valorisation (recyclage)
|
Energie,
eau, matières premières, produits dangereux.
|
Elimination
|
Energie
|
Figure 3 : Mort (valorisation ou
élimination)_réalisée par nos soins
Cette dernière étape
est souvent source de problème. Il faut
éliminer le produit en dépensant le moins d’argent possible. On peut par
exemple l’abandonner dans la nature ou en mer, provoquer une incinération
sauvage, une mise en décharge illégale, des exportations dans les pays du Sud,
etc.
Pour aboutir à une
analyse du cycle de vie complète, il faut procéder à quatre étapes :
1.
La
première étape est la définition des objectifs et du champ d’étude, sa
structure a été mise en place par la norme du ISO 14041.
Cette étape consiste à définir les objectifs et le but de l’analyse du cycle de vie du produit. Il existe deux types d’ACV, l’ACV-A ou ACV attributionnelle qui consiste à l’évaluation des impacts environnementaux pouvant être lié à une seule filière donnée, cette méthode est sans doute la plus classique. Cependant, elle comporte beaucoup de limites, par exemple, elle ne prendra pas en compte l’évolution du marché, ou les impacts causés par des prises de décisions, de plus elle ne concerne qu’une seule filière, ce qui donne des résultats plus restreints. C’est pour cela, que cette méthode est souvent associée à l’ACV-C ou ACV conséquentielle, elle va prendre en compte les interactions économiques, de plus cette méthode a une vision beaucoup plus large car les résultats peuvent être indirects ou directs sur la filière donnée.
Mais aussi le champ de l’étude qui comprend :
-les fonctions du produit en question, c’est une étape important car si la fonction n’est pas totalement justifiée, nous pourrions la confondre avec une autre, c’est pour cela que l’analyse fonctionnelle est nécessaire;
-son unité de mesure adaptée pour permettre sa comparaison avec d’autres produits ;
-les destinataires de cette étude et comment ils recevront les résultats, l’analyse ne sera pas vérifiée de la même façon si elle est rendue publique (vérificateurs externes) que si elle est utilisée à des fins internes ;
-les limites à la création du produit pour chaque étape.
Cette étape consiste à définir les objectifs et le but de l’analyse du cycle de vie du produit. Il existe deux types d’ACV, l’ACV-A ou ACV attributionnelle qui consiste à l’évaluation des impacts environnementaux pouvant être lié à une seule filière donnée, cette méthode est sans doute la plus classique. Cependant, elle comporte beaucoup de limites, par exemple, elle ne prendra pas en compte l’évolution du marché, ou les impacts causés par des prises de décisions, de plus elle ne concerne qu’une seule filière, ce qui donne des résultats plus restreints. C’est pour cela, que cette méthode est souvent associée à l’ACV-C ou ACV conséquentielle, elle va prendre en compte les interactions économiques, de plus cette méthode a une vision beaucoup plus large car les résultats peuvent être indirects ou directs sur la filière donnée.
Mais aussi le champ de l’étude qui comprend :
-les fonctions du produit en question, c’est une étape important car si la fonction n’est pas totalement justifiée, nous pourrions la confondre avec une autre, c’est pour cela que l’analyse fonctionnelle est nécessaire;
-son unité de mesure adaptée pour permettre sa comparaison avec d’autres produits ;
-les destinataires de cette étude et comment ils recevront les résultats, l’analyse ne sera pas vérifiée de la même façon si elle est rendue publique (vérificateurs externes) que si elle est utilisée à des fins internes ;
-les limites à la création du produit pour chaque étape.
2.
La
seconde étape est l’inventaire de cycle de vie (ICV).
Cet inventaire comporte les trajets (entrants et sortants) que font les flux de matières premières et d’énergies après avoir passé les frontières du système (acquisition des matières premières, la production, l’utilisation, réutilisation et la maintenance, le recyclage et le traitement des déchets). Les flux sortants vont être principalement les émissions dans l’air, l’eau, le sol ainsi que la production des matières recyclés. Ces trajets sont calculés grâce aux facteurs d’activité et aux facteurs d’émission qui sont reportés le plus souvent sur des logiciels spéciaux d’ACV tels que l’EGES, Food’Print ou GaBi.
Cet inventaire comporte les trajets (entrants et sortants) que font les flux de matières premières et d’énergies après avoir passé les frontières du système (acquisition des matières premières, la production, l’utilisation, réutilisation et la maintenance, le recyclage et le traitement des déchets). Les flux sortants vont être principalement les émissions dans l’air, l’eau, le sol ainsi que la production des matières recyclés. Ces trajets sont calculés grâce aux facteurs d’activité et aux facteurs d’émission qui sont reportés le plus souvent sur des logiciels spéciaux d’ACV tels que l’EGES, Food’Print ou GaBi.
3.
Evaluation
de l’impact à partir des flux de matières et d’énergies recensés, c’est une
étape qui a été mise en place par la norme ISO 14042.
Ensuite, la troisième étape présente les différents impacts environnementaux causés par chacun des flux de l’ICV, cela permettra de classer de potentiels améliorations du produit, de noter la performance du produit, de comparer ce produit avec d’autres ayant la même fonction et la même unité de mesure, ainsi que les impacts environnementaux devant être modifés.
Ensuite, la troisième étape présente les différents impacts environnementaux causés par chacun des flux de l’ICV, cela permettra de classer de potentiels améliorations du produit, de noter la performance du produit, de comparer ce produit avec d’autres ayant la même fonction et la même unité de mesure, ainsi que les impacts environnementaux devant être modifés.
4.
Interprétation
des résultats en fonction des objectifs.
Cette dernière étape permet de valider au fur et à mesure les étapes précédentes (pour s’il y a un quelconque changement au niveau du champ de l’étude), mais aussi à déterminer durant quel moment l’impact environnemental est le plus élevé pour potentiellement le diminuer par la suite. C’est dans cette étape que nous expliquons les limites de l’analyse que nous avons réalisé.
Cette dernière étape permet de valider au fur et à mesure les étapes précédentes (pour s’il y a un quelconque changement au niveau du champ de l’étude), mais aussi à déterminer durant quel moment l’impact environnemental est le plus élevé pour potentiellement le diminuer par la suite. C’est dans cette étape que nous expliquons les limites de l’analyse que nous avons réalisé.
Approches de
multicritères : les impacts environnementaux.
L’impact de la création
du produit :
La toute première étape est
l’extraction des matières premières. Il faut donc veiller à ce que deux points
soient respectés.
-
Le
premier étant le fait que cette extraction ne doit pas polluer, que ce soit par
la création de CO2 ou par la formation de déchets. Mais aussi que
cette extraction n’endommage ou ne détruise pas les écosystèmes environs.
-
Le
second étant la création du produit à partir de ressources renouvelables ou
recyclées et recyclable afin que cette ressource soit pérenne.
La seconde étape étant le transport
de ces matières premières jusqu’au lieu de création du produit final. Il faut
donc vérifier que ce transport ne pollue pas trop ; pour cela on peut
modifier deux paramètres principaux.
-
Le
premier étant tout simplement la distance, qui doit être la plus courte
possible afin de limiter le transport.
-
Le
second étant le moyen de transport. Par exemple l’avion pollue davantage que le
transport maritime. En effet, on estime que leurs émissions de CO2 seraient
respectivement de 360 et 40 g/km. Néanmoins, ceci varie selon le
type de transporteur, mais également selon le poids et la quantité des
marchandises.
Et enfin, il y a l’étape de
transformation des matières premières en produit finis. Il y a alors deux
points à respecter :
-
La
pollution dû à la création du produit mais aussi celle créée par la
consommation d’énergie.
-
Les
emballages, qui doivent eux aussi être le plus possible respectueux de l’environnement
(Non polluant, recyclable et provenant d’une ressource renouvelable).
L’impact du transport
et de l’entretien du produit :
Ensuite, il y a le transport des
produits du lieu de production jusqu’à tous les lieux de points de vente, ou
alors directement chez l’habitant.
Cette étape est une étape extrêmement polluante, et cela s’accentue d’années en années, principalement à cause de la mondialisation grandissante. En effet, il y a de plus de point de vente et surtout ces derniers sont de plus en plus éloignés à travers le monde .
Il faut donc dans un premier temps que les produits arrivent en grandes quantités dans un pays donné, et ensuite il faut que les produits soient distribués à travers tout le pays. On en revient dans ce cas aux problèmes de la pollution liée aux transports.
Cette étape est une étape extrêmement polluante, et cela s’accentue d’années en années, principalement à cause de la mondialisation grandissante. En effet, il y a de plus de point de vente et surtout ces derniers sont de plus en plus éloignés à travers le monde .
Il faut donc dans un premier temps que les produits arrivent en grandes quantités dans un pays donné, et ensuite il faut que les produits soient distribués à travers tout le pays. On en revient dans ce cas aux problèmes de la pollution liée aux transports.
Apres cela, il y a encore une étape
qui est souvent ignorée, mais qui est pourtant fondamentale, c’est celle de la
vie et de l’utilisation du produit. Cette étape est souvent oubliée et
« remplacée » par celle de l’élimination.
Pourtant, par exemple pour un
vêtement, le fait de ne le porter qu’un jour puis de le laver ensuite, ou bien
de le porter 2 à 3 jours rend la pollution et l’impact environnemental de ce
vêtement complètement différent. Il peut aller du simple au quintuple en
fonction de son utilisation. On pense dans ce cas bien évidemment à l’utilisation
de la machine à laver et du fer à repasser.
L’impact de son
élimination :
L’étape préalable avant même de commencer
l’élimination du produit est d’abord la collecte, puis le transport de tous les
sites de collectes jusqu’aux sites d’élimination. Cette étape a beau être
couteuse en énergie et relativement polluante, elle présente beaucoup plus
d’avantages que d’inconvénients.
Enfin, se présentent alors deux
solutions pour la fin de vie du produit :
-
L’élimination.
Elle peut se faire de multiples façons, la plus utilisée étant l’élimination
par le feu. Par contre, dans le cas de l’élimination par le feu, il faut veiller
à ce que les produits de cette élimination ne soit ni toxique ni polluant. Comme
par les pneus que l’on ne brûle plus car cela rejette énormément de produit
toxique issue de dérivés pétroliers.
-
Le
recyclage. Il existe 3 valorisations différentes des déchets :
o
On
utilise le produit afin de recréer le même produit.
o
On
utilise le produit afin de recréer un autre produit.
On utilise
l’élimination du produit afin de produire de l’énergie par exemple.
Les avantages et les
inconvénients de l’ACV.
Pour l’instant c’est
l’outil le plus abouti est cadré par des normes régies par l’Organisation
internationale de la normalisation (ISO), notamment par toute une série de
normes de l’ISO 14040 et 14044, ce qui le rend plus pertinent que les autres
techniques. En effet, en parallèle de l’ACV se sont développées des concepts
comme l’évaluation des risques, de l’impact environnemental, de la performance
environnementale ou bien encore le système de management environnemental.
L’analyse de cycle de vie offre beaucoup d'avantages en nous donnant une vision
globale de l'impact environnemental d'un produit comme le choix d'une politique
environnementale ou locale tel que le design. Il permet d'étudier quelles
étapes de cycle de vie du produit ont le plus grand impact environnemental mais
aussi les impacts directs et indirects du produit tout au long de sa vie. Cette
analyse peut aussi prévoir les transferts de pollution et donc pouvoir changer
certaines étapes ce qui est un de ces plus gros avantages. L’analyse de cycle de
vie permet d'étudier plusieurs paramètres
au lieu d'un, ce qui lui permet d’être plus poussé. Grâce à ces nombreux
paramètres elle permet de visualiser plusieurs scénarios possibles de l’impact
du produit dans le temps en faisant varier des paramètres. Dans ce cas, l’ACV
présente plusieurs intérêts. Premièrement, il permet d’améliorer un produit en exploitant
les points faibles annoncés par l’ACV.
Prenons l’exemple d’un paquet de gâteaux composé de deux
emballages : un emballage carton qui protège et expose le produit, et un
emballage plastique pour conditionner les pâtisseries par groupes. L’ACV a
démontré pour ces produits un important impact écologique au niveau de l’étape
« emballage ». Dans ce cas, l’usine fabriquant les produits peut si
elle le souhaite modifier l’organisation du produit : supprimer un des
deux types d’emballage ou leur matière, et/ou réduire le nombre de gâteaux par
emballage plastique. La deuxième application possible est la comparaison de
plusieurs produits. Par exemple, si l’on compare la quantité de CO2
générée par des légumes frais et des légumes en conserve, on se rend compte
qu’il y a eu une production de dioxyde de carbone diminuée de 35% pour les
premiers types d’aliments. L’aspect CO2 privilégie donc les légumes frais par
rapport aux boîtes de conserves.
Cependant cette analyse a aussi
beaucoup d'inconvénients car les analyses diffèrent en fonction du logiciel
utilisé, qui n'utilise pas toujours les mêmes critères d’évaluation. Les
classements peuvent donc différer d'un site à un autre ce qui rend cette
analyse contestable. L’analyse ne prend pas en compte de la spécificité et la
particularité de la région ou du pays car il utilise des paramètres globaux
pour étudier le produit. Par ailleurs il
est presque impossible d'obtenir une analyse de cycle de vie complète car il y
a beaucoup de paramètres qui ne peuvent pas être quantifiés, et ne prend pas en
compte les flux tels que les ondes et les nuisances sonores, ce qui peut jouer
sur sa fiabilité. Cette analyse permet donc une analyse virtuelle basée sur des
caractères qui ne peuvent pas correspondent à certaines régions mais qui
permettent d'avoir une bonne approche sur la réalité. Ensuite cette analyse a
un coût très élevé et entraine des démarches complexes. Enfin, dans une optique
de hiérarchisation de produits, il arrive fréquemment que le bilan ne permette
pas de distinguer quel produit est plus écologique qu’un autre. En effet, il
n’est pas rare que si un produit est avantageux dans une étape et désavantageux
dans une autre, qu’un autre produit au but similaire ait le constat inverse.
Dans ce cas, en favoriser un devient compliqué.
L’ACV est donc un outil qui permet de quantifier les
flux provoqués par un produit donné. L’environnement prenant de plus en plus
d’ampleur dans notre société, cet outil apparait comme un moyen de ralentir le
réchauffement climatique. Il pourrait aussi inciter le consommateur à acheter
des « produits verts » en instaurant un étiquetage spécifique. En
test sur certains produits, des biais importants peuvent exister, et les
données sont souvent indisponibles pour des raisons de confidentialité.
Webographie et
bibliographie
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du cycle de vie d’un produit ou d’un service. http://les.cahiers-developpement-durable.be/outils/analyse-du-cycle-de-vie/ .[consultée le 05/05/16].
ROUSSEAUX,
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l’analyse du cycle de vie.www.adame.fr/expertises/consommer-autrement/passer-à-laction/dossier/lanalyse-cycle-vie/comment-realise-t-acv.[consultée
le 09/05/16].
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quantification des impacts environnementaux.www.encyclopedie-dd.org/encyclopédie/economie/l-analyse-du-cycle-de-vie-acv.html.[consultée
le 09/05/16].
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BONNEAU, Cécile. Notre assiette en questions : le bilan
carbone. Sciences & vie, hors-série n° 274, mars 2016, pp.110-111
EQuiNeo. (2011) Carton, plastique, verre, … le classement
« écologique » des emballages selon Tetra Pak ! http://www.electricite-verte.com/base-de-connaissances/energie-et-developpement-durable_fiche_le-developpement-durable_carton-plastique-verre-8230-le-classement-ecologique-des-emballages-selon-tetra-pak.html [consultée le 03/06/2016]
[s.n]. (2012). Méthodologie de l’analyse de cycle de vie.http://stockage.univ-valenciennes.fr/MenetACVBAT20120704/acvbat/chap03/co/ch03_100_1-8.html. [consultée le 14/05/16].