Les micro-algues : Une révolution des ressources ?

ARRAR Farah, DEAN Léa, FARIA Julie, FRANCOIS Vincent, JAMET Camille, JUY Thibault


Qu’est-ce que les micro-algues et comment fonctionnent-elles ?

Les algues (macro et micro) désignent un ensemble d’organismes photosynthétiques présents le plus souvent en milieu aquatique. Les micro-algues, aussi appelées phytoplanctons, sont définies comme étant des organismes unicellulaires ou pluricellulaires indifférenciés. Elles ne possèdent ni racines, ni tiges, ni feuilles mais sont pourvues de chlorophylle et autres pigments leur permettant de réaliser la photosynthèse. Ainsi, on considère comme micro-algues tout organisme aquatique unicellulaire capable de réaliser la photosynthèse. Il s’agit d’organismes eucaryotes à l’exception des cyanobactéries, qui eux, sont des micro-algues procaryotes photosynthétiques (1).

Les micro-algues sont capables de faire la photosynthèse, c’est-à-dire qu’elles ont la capacité de transformer l’énergie lumineuse en énergie chimique puis en nourriture. Cette machinerie est contrôlée par une protéine nommée PGR5 (2).
Pour capter l’énergie solaire, les micro-algues possèdent, comme tous les végétaux, une protéine appelée LHCs (2) permettant le transfert de cette énergie de l’extérieur vers l’intérieur de leur membrane cytoplasmique. L’énergie est dirigée dans les chloroplastes à l’aide de transporteurs puis sera transformée en sucre ou en oxygène selon les besoins de l’organisme.



Les scientifiques s’intéressent aux micro-algues pour leur biomasse luxuriante facile à trouver, cultiver, transporter et éventuellement à analyser. Une micro-algue a de nombreuses propriétés chimiques et biochimiques pouvant s’appliquer dans plusieurs domaines, autres que la biologie, comme les transports, la cosmétique et l’alimentation. Enfin, le domaine de la recherche sur les micro-algues est en pleine explosion compte tenu des résultats : bon rendement, bonne capacité d’adaptation, rapidité de production des molécules cibles comme les triglycérides pour la production d’huile végétale utilisée dans les algocarburants et la forte capacité de capture du dioxyde de carbone visant à dépolluer la Terre.


Ces petits êtres surprenants seraient-ils au cœur d’une future révolution à la fois industrielle, pour leurs atouts énergiques, et environnementale pour l’aspect écologique et durable de leur production ?
        

         Exemples d’utilisations

         L’utilisation des micro-algues dans le domaine des biocarburants

         Tout d’abord, un agro-carburant est un biocarburant liquide issu de la transformation des matières végétales produites par l’agriculture. Il représente une source d’énergie renouvelable donc une solution incontournable pour la préservation de l’environnement.
          
         Il existe différents types de biocarburants : les biocarburants dits de 1ère génération, issus de matières végétales alimentaires (céréales, huile de tournesol...); ceux de 2ème génération, issus de résidus agricoles et forêts (bois, paille) et ceux de 3ème génération, encore appelés algocarburants, issus des micro-algues lipidiques. Pour que leur production en lipides soit convertie en biocarburant, les filières algales se basent sur un certain nombre d’étapes nécessaires (3).

         Premièrement, il est nécessaire de sélectionner les micro-algues en fonction de leur capacité à produire des triglycérides, la principale réserve d’huiles végétales. Les plus performantes peuvent contenir jusqu’à plus de 70% de lipides.
Ces micro-algues sont ensuite mises en culture dans de l’eau tout au long de l’année et ne demandent l’action d’aucun pesticide ou herbicide. Elles peuvent grandir en milieux aqueux, doux ou salés, à condition d'avoir accès à la lumière, au dioxyde de carbone et aux nutriments. Ces cultures peuvent être réalisées en grandes quantités dans des bassins ouverts. Ce type de milieu, facile à construire, livre les conditions nécessaires aux micro-algues.
Cependant, les conditions de vie proposées, comme le taux de luminosité, varient en fonction de l’heure. Et, ce milieu est facilement sujet aux contaminations.

         Sinon, les photobioréacteurs sont des réacteurs chimiques appliqués à la biologie soit des enceintes fermées et contrôlées pouvant mettre en culture ce type d’organismes photosynthétiques. Plus complexes et plus onéreux, ils assurent un développement et un contrôle de qualité des cultures (4).


Photographie d’un photobioréacteur (source : ENNESYS)


         Dans ces milieux, les organismes ne cessent de synthétiser les lipides nécessaires au produit final et sont récoltés selon le milieu de culture choisi. La récolte peut se faire physiquement ou de manière chimique avec introduction d’un solvant organique d’extraction permettant de récupérer les liquides du milieu. Les substances d’intérêts sont alors prélevées par une extraction liquide-liquide et une séparation de phase. Il existe d’autres méthodes de séparations qui jouent avec la différence des masses volumiques des cellules et du milieu (sédimentation, floculation-décantation, flottation et centrifugation) ou encore avec la différence de taille (tamisage et procédés à membranes pouvant utiliser la micro ou l’ultrafiltration). Une fois les substances extraites, les micro-algues sont toujours vivantes et donc remises en culture. Les lipides sont ensuite convertis en algocarburants par transestérification : réaction de l’huile avec du méthanol ou de l'éthanol pour obtenir un ester d'huile algale ou un biodiesel, enfin une étape d’hydrotraitement : réaction de l’huile avec de l’hydrogène suivie d’un hydrocraquage (procédé mis en œuvre sous une forte température et une forte pression d’hydrogène).

Après cette ultime étape, le biocarburant est entièrement produit, il peut être utilisé comme tel ou mélangé à d’autres biodiesels. La production de carburant par les micro-algues fonctionne actuellement mais ne suscite pas l’unanimité de tous (4).

Désavantages de cette utilisation

Dans le domaine des biocarburants, les micro-algues sont souvent considérées comme le futur or vert, terme utilisé dans un article du Journal du CNRS. Leur utilisation présente pourtant des désavantages.

De nombreux systèmes de culture sont actuellement utilisés. Malheureusement, aucun d’eux ne permet un rendement optimal. Par exemple, les bassins ouverts, pour éviter toutes contaminations, ne permettent la culture que d’espèces extrêmophiles, résistantes à des conditions extrêmes (5). Concernant les photobioréacteurs, c’est l’achat, l’entretien et le maintien artificiel des conditions de culture qui élèvent leurs coûts financiers. Par exemple, selon La Tribune (octobre, 2012) pour la grande ferme Sapphire installée dans le désert du Nouveau Mexique, ce sont les fortes illuminations, les hautes températures en été et les basses températures en hiver qui ont une mauvaise influence sur les cultures. Ces conditions entraînent des évaporations en journée obligeant les producteurs à augmenter leurs apports en eau. Selon cet article, cette grande ferme vise une production annuelle de 1,5 million de barils en 2014 contre 11 millions de barils pour les carburants fossiles originaires d’Arabie Saoudite selon Le Figaro (juin, 2015). La production annuelle de biocarburant est donc, pour le moment, inférieure à celle de carburants fossiles. Il existe aussi des désavantages sur les plans écologiques et économiques.

Tout d’abord, l’apport en engrais et en substances chimiques (oligo-éléments, vitamines, silice, azote ou encore phosphore) élèvent le coût de la production. Les producteurs sont contraints de les utiliser car ces éléments empêchent la prolifération de micro-organismes, pouvant devenir envahissante. D’ailleurs, ils sont autorisés à utiliser des organismes génétiquement modifiés : les modifications génétiques touchent, évidemment, les réserves d’huile des micro-algues.
Cette pratique présente des risques car ces micro-algues peuvent être libérées et causer des perturbations dans l’environnement. Le prix de ce biocarburant reste un point négatif de cette utilisation. Cependant, les estimations ne sont pas les mêmes en fonction des entreprises. Par exemple, l’entreprise Joule Unlimited estime le litre à 0,25€, un prix compétitif alors que Shamash et Seed Science Ltd l’estiment à 10€, un prix nettement moins compétitif comparé aux prix des carburants fossiles : 0,80 et 1,20€/litre.
           
            En général, le bilan énergétique des carburants tirés d’algues n’est pas très satisfaisant. La quantité d’énergie nécessaire à leur production est sept fois plus grande que l’énergie produite par les carburants qu’elles délivrent (6). C’est d’ailleurs pour cela qu’il n’y a toujours pas d’algocarburants commercialisés. Bien que les micro-algues aient des avantages, leurs productions en biocarburant rejoignent les biocarburants de première et de deuxième génération sur les effets concernant la dégradation de l’environnement.


Aujourd’hui, des recherches sont réalisées sur d’autres moyens de mettre à profit les vertus de ces micro-algues.

            Premier moyen : utiliser les micro-algues pour dépolluer l’air.

            Aujourd’hui, le rejet de dioxyde de carbone dans l’atmosphère est une préoccupation majeure en Europe. Scientifiques, ingénieurs, industriels et hommes politiques réfléchissent à des solutions permettant de diminuer le rejet de ce gaz polluant.  Tous les ans, 4,9 milliards de kilos de dioxyde de carbone sont rejetés dans l’atmosphère soit un 1 kilo de dioxyde de carbone pour 4 secondes pour 1 voiture européenne (d’après les estimations du site Cosmoglobe). Le biogaz issu des micro-algues devient une alternative prometteuse aux carburants fossiles.

Le principe du biogaz par l’utilisation des micro-algues s’articule autour de trois axes : une culture de micro-algues qui capte à la fois le dioxyde de carbone de l’air et l’énergie lumineuse du soleil. Elle convertit également ce dernier par l’intermédiaire d’un métabolisme complexe utilisant un gaz naturel synthétique. Ce gaz sera, par la suite, injecté dans le réseau de gaz naturel. Deux expériences sont menées actuellement en Europe et en Suisse à ce sujet.

Les scientifiques ont démontré que très peu de micro-algues produisent plus de biogaz qu’une centaine d’arbres réunis. Pour aboutir à ce gaz, les micro-algues subissent une gazéification hydrothermale, technique basée sur l'optimisation des caractères physico-chimiques des micro-algues.

En 2014, la première expérience est réalisée en Suisse par The Cloud Collective (7), une entreprise franco-néerlandaise qui cultive des micro-algues au-dessus d'un pont routier. L'objectif est de capter les émissions de dioxyde de carbone des véhicules à l’entrée du pont pour les filtrer, les traiter et en rejeter un biogaz propre et écologique. Cela se fait par l’intermédiaire d’un photobioréacteur sur un pont de Genève (Suisse) (7).




           Schéma représentant le système mis en place par The Cloud Collective (source : Wedemain)
           
         Un système de pompes et de filtres récupère le gaz pollueur, le met au contact des micro-algues séparées par des filtres. Ensuite, des pompes régulent la vitesse et le mouvement permanent dans les tubes pour éviter toute stagnation des organismes. Ce mécanisme amplifie le phénomène d’absorption des gaz et nutriments par les micro-algues et augmente le rendement de production.

Enfin, on trouve un système d’évacuation qui enlève le surplus de micro-algues pour les envoyer vers les eaux usées de la ville. La structure utilise l’énergie solaire pour chauffer les micro-algues afin d’optimiser leur production de biogaz et de réduire la consommation d’électricité utilisée pour chauffer les micro-algues. Cette expérience permet de filtrer entre 1 et 1.000 tonnes de gaz carbonique(7).

La deuxième expérience est un prototype réalisé par SUEZ en partenariat avec des start-up françaises (8). Elle s’organise en plusieurs étapes qui aboutissent chacune à la création d’énergie verte.
La première étape consiste tout d’abord à capter le dioxyde de carbone présent dans l’air. Pour cela, les chercheurs ont fabriqué un puit en carbone éclairé par des diodes électroluminescentes ou par la lumière naturelle du soleil. Les algues sont ensuite chauffées comme l’expérience précédente pour obtenir des conditions propices à une forte production de biogaz. Une fois les paramètres validés, les micro-algues peuvent absorber le dioxyde de carbone En moyenne, pour 1 m³ de micro-algues, on peut atteindre une absorption de 1,5 tonne de dioxyde de carbone par an.

La deuxième étape consiste d’une part à évacuer les déchets produisent dans les eaux usées de la ville et d’autre part à libérer l’oxygène produit par photosynthèse.
Enfin, la troisième étape se déroule dans les stations d’épuration des eaux de la ville, étape traitée ultérieurement dans l’article. Cette expérience permet d’une part de produire du biogaz et de l’autre, de la biomasse réutilisable dans les stations d’épurations.

            Ces deux expériences ont plusieurs avantages en commun : une production verte pour l’environnement, une rentabilité durable et écologique ainsi qu'une réponse contre la déforestation. Cependant la prolifération des algues dans les eaux de la ville et dans les mers est un problème important, peu anticipé par les entreprises. (pas de liens entre les deux phrases)
Les micro-algues sont en faveur du développement durable notamment dans la dépollution les eaux usées, un problème important dans les grandes métropoles.

Deuxième moyen : utiliser des micro-algues pour recycler les eaux usées.

 Les micro-algues connaissent un essor sans précédent depuis déjà quelques décennies mais aujourd’hui il s’agirait de mettre à profit ces algues dans le domaine de l’écologie et notamment dans les systèmes d’épuration. En effet, la production algale dans les bassins d’eaux usées permet une filtration et par la suite la récupération de ces biomasses.

Afin d’utiliser les micro-algues dans les meilleures conditions possibles, des études ont été menées en amont pour comprendre leur métabolisme. Il s’agit avant tout d’assimiler les effets des différents paramètres environnementaux. C’est ainsi que Stengel en 1970, suivi par Fulks et Main en 1991 (9), ont étudié les facteurs influençant la production des algues. Les résultats ont permis de déterminer les conditions optimales de croissance, soit :

1.              un éclairement naturel ou artificiel de 16 heures minimum par jour (9)
2.              une température optimale entre 15°C et 25°C selon l’espèce (9)
3.              un pH compris entre 8,2 et 8,7 (9)
4.              la présence de nutriments comme l’azote et le phosphore (9)
5.              la présence de dioxyde de carbone (9)
6.              l’absence de consommateurs herbivores notamment pour les algues de petites tailles, car ces organismes peuvent provoquer la destruction de la culture (9).

Déterminer les conditions optimales passe aussi par la localisation de l’emplacement des bassins d’épuration. Il a été montré que le bassin doit être une zone ensoleillée, ainsi les zones boisées sont à éviter. Il faut prendre en compte la nature du sol, c'est-à-dire un milieu fertile plus propice au développement des algues. De plus, il est utile de disposer d'une quantité en eau importante grâce à un fonctionnement en circuit fermé par exemple. Il faut tenir compte de la profondeur de la culture afin de limiter risques de désoxygénation sur le fond pour que les micro-algues puissent recevoir lumière nécessaire à leur croissance (9). A titre d’exemple, une station pilote en Italie possède des profondeurs d’environ 0.3 mètre en été et 0.5 mètre en hiver (9). La technique de production optimale serait une aération du milieu ainsi qu’un brassage régulier pour une meilleure oxygénation et donc une stimulation des bactéries aérobies. Cela accroit la concentration en dioxyde de carbone grâce à la diffusion dans la couche et évite la sédimentation des micro-algues mais aussi un échange de nutriments entre les algues et leur milieu. Cependant l’aération nécessite une énergie de 0.5 à 1.04 kW/kg (9). De plus, la performance de production varie avec le type de culture et le volume du bassin.
Il faut aussi prendre en compte les contraintes liées aux conditions environnementales.  En effet, l’élévation de la température influence favorablement le développement des micro-algues. On remarque une activité métabolique jusqu’à 2 fois plus élevée que quand la culture est exposée à des faibles températures. La turbidité, teneur d'un fluide en matières, diminue la production de cellules vivantes notamment provoquée par la remise en suspension des particules ou par l’abondance de cellules vivantes, bactéries et algues comprises.
Les conditions optimales de croissance étant déterminées, il faut maintenant comprendre en quoi les micro-algues servent à la dépollution des eaux.
Tout d’abord, on observe chez l’algue Scenedesmus (9-10) par exemple, la production de substances qui sembleraient avoir une action bactéricide. En effet, l’action antibactérienne des algues élimine les souches pathogènes de l’environnement dans lequel elles vivent. L’interaction algues-bactéries incite l’intervention des micro-algues dans les systèmes d’épuration. A titre d’exemple, des études ont démontré que l’augmentation du pH dû au métabolisme de la photosynthèse est défavorable à la prolifération de bactéries. Ces dernières peuvent aussi souffrir d’une compétition nutritive avec des macronutriments présents dans l’eau.  A l’heure actuelle, ces substances n’ont pas encore été déterminées avec précision mais il semblerait que certaines, par la production d’acide gras, auraient un pouvoir vis-à-vis des bactéries gram + et gram – quant à d’autres, elles auraient une action antimicrobienne ou antibactérienne sur les micro-organismes présents dans les bassins.
            Le cycle des micro-algues ne s’arrête pas à ce dernier point. Il est possible de les récolter afin de les utiliser comme source d’énergie par exemple. On observe que la récolte des biomasses est rendue complexe par la petite taille de certaines micro-algues. Mais, ici encore, des études sont en cours pour trouver des systèmes de récupération efficaces et peu onéreux. En attendant, les récoltes de ces algues peuvent servir à l’alimentation animale (9).

            La production de bioénergie, à partir du dioxyde de carbone atmosphérique, est une prouesse technologique. L’utilisation de micro-algues a cependant un coût de production élevé pour de faibles rendements et présente un risque pour l’écosystème. Jean Ziegler, rapporteur sur le droit à l’alimentation, déclare à l’Organisation des Nation Unies en octobre 2007 : « c’est un crime contre l’humanité qui est commis lorsque l’on convertit un sol productif pour l’alimentation en terre à produire du biocarburant ».







Webographie


1.              Sialve B.1, Steyer J-P. «Les micro-algues, promesses et défis». Laboratoire de Biotechnologie de l’Environnement de INRA [en ligne]. Consulté en mars 2016. Disponible sur http://webcache.googleusercontent.com

2.              Johnson Xenie, Alric Jean. «Les micro-algues maîtrisent leur photosynthèse». Evolution&Diversité biologique [en ligne]. Consulté en avril 2016. Disponible sur http://www.edb.ups-tlse.fr/Les-microalgues-maitrisent-leur

3.              Cadoret Corentin, Jan Batiste, Lhomer Charley, Zawadzki. Le biocarburant avec des micro-algues : une alternative aux biocarburants d’aujourd’hui ? Consulté le 17/04/2016. Disponible sur https://issuu.com

4.              Agence spatiale européenne. «La culture de Spirulina en photobioreacteurs». Agence spatiale européenne [en ligne] Consulté le 13/05/2016. Disponible sur http://ecls.esa.int

5.              Peltier Gilles. « Produire des biocarburants à partir de micro- algues : quels enjeux pour la recherche ?». Institut de Biologie Environnementale et Biotechnologie CEA, CNRS, Université́ Aix Marseille [en ligne]. Consulté en avril 2016. Disponible sur https://www.college-de-france.fr

6.              Wedemain rubique santé. « Des micro-algues au-dessus des routes, une nouvelle arme anti-pollution ». Wedemain.fr [en ligne]. Consulté le 17 avril 2016. Disponible sur http://www.wedemain.fr  

7.              Association Genève, villes en cultures. «CULTURE URBAINE GENÈVE». The Cloud Collective [en ligne]. Consulté le 10 mars 2016. Disponible sur http://thecloudcollective.org

8.              Lecomte Erwan. «Une colonne d'algues pour purifier l'air de nos villes ». Science et avenir [en ligne]. Consulté en avril 2016. Disponible sur http://www.sciencesetavenir.fr

9.              Darbbidie Lionel. «CULTURES INTENSIVES DE MICROALGUES SUR LISIER DE PORC : PERFORMANCES, CONTRAINTES, UTILISATION DES BIOMASSES». Ministère de l’agriculture, école nationale supérieure agronomique de Montpellier [en webcache et en ligne]. Consulté en mars 2016. Disponible sur http://webcache.googleusercontent.com

10.           J.de la Noue ; R. van Coillie ; L. Brunei ; Y. Pouliot. «Traitement des eaux usées par culture de micro-algues : influence de la composition du milieu sur la croissance de Scenedesmus spp» limnology-journal [en ligne]. Consulté le 30 mars 2016. Disponible sur http://www.limnology-journal.org